DETAILS DU PROJET DE
REPRISE
1. LES
CONSEQUENCES DE LA MISE EN LIQUIDATION : Depuis la confirmation de la
mise en liquidation du Domaine (le 2 Octobre dernier), tous ses
occupants, quel que soit leur statut (porteurs de parts ou simples locataires,
en règle ou pas avec la SCF), sont devenus des occupants illégaux puisque
avec cette décision de justice, le bail de la Mairie a lui aussi été résilié.
Le cabinet Huertas a été dessaisi du dossier au profit d’un Mandataire
Liquidateur qui a désormais 2 ans pour recouvrer auprès des porteurs de parts
solvables la totalité de la dette déclarée + les frais de retour à l’état
naturel du Domaine + les frais de justice et d’éventuelles procédures de
recours qui seront nécessaires. Car si les parts sociales ont cessé
d’exister avec la disparition de la SCF, elles continuent cependant d’être la
base juridique sur laquelle vont se fonder les poursuites du Liquidateur.
Les porteurs de parts se substituant à la SCF insolvable puisqu’ils en
garantissent justement la solvabilité sur la valeur de leur propre patrimoine,
de manière solidaire et indéfinie dans le temps… c'est-à-dire d’abord la
répartition de la dette et des frais de liquidation sur l’ensemble des porteurs
de parts quels qu’ils soient… et s’il est impossible de tous les poursuivre, de se
retourner sur les seuls porteurs solvables. Dernières conséquences de la
liquidation et donc de l’occupation illégale du terrain communal, les
potentielles coupures d’eau et d’électricité.
1. LE
MANDATAIRE LIQUIDATEUR : Dans une procédure de Liquidation, le
Mandataire Liquidateur est le seul Représentant Légal désigné par le Tribunal
pour servir d’intermédiaire entre le (les) débiteur (s) et le (les) créancier
(s). Toutes transactions financières directes entre les débiteurs et les créanciers,
sans l’intervention ou l’autorisation du Mandataire Liquidateur, est illégale…
et à de forte probabilité de ne même pas être prise en compte dans le processus
de Liquidation enclenché. Donc de l’argent tout simplement perdu.
1. LES
DIFFERENTS RECOURS POSSIBLES : La procédure en Appel est
impossible à mettre en œuvre du fait de l’absence d’un gérant
statutaire qui est le seul représentant légal indiscutable de la SCF
pour une procédure en justice. Reste la possibilité d’un recours en
Tierce Opposition. Cette procédure est une procédure individuelle
dans sa forme (puisque elle repose sur le fait que la décision
de justice a pu léser un seul individu qui n’y était pas représenté,
ou qui n’a pu y faire valoir ses droits), mais qui dans notre cas peut regrouper
un nombre plus important de personnes puisqu’elle se base sur un projet de
reprise préexistant à la Liquidation, qui aurait pu empêcher cette même
liquidation et qui induisait la participation d’un nombre X de porteurs de
parts sociales de la SCF qui du même coup se
retrouvent eux aussi lésés. La procédure est donc recevable et nous ouvre la
seule porte de sortie viable et qui ait une chance de se faire reconnaitre en
tant que telle par le Tribunal. Et donc d’aboutir à l’Annulation de
la mise en Liquidation de la SCF.
1. LES
DIFFICULTES DE LA TIERCE OPPOSITION : A la différence d’une procédure en
Appel qui induit la délocalisation de l’affaire, le recours en Tierce
Opposition revient à faire réexaminer notre cas par les mêmes juges
qui ont déjà statué une première fois sur le dossier, et donc décidé au vu
des pièces qui leur était présentées que la SCF n’était pas viable et qu’il
fallait la mettre en Liquidation. Pour avoir la moindre chance d’aboutir, le
recours doit donc impérativement s’appuyer, d’une part sur de nouvelles
pièces, et d’autre part sur la proposition de solutions concrètes
aux problèmes posés par le premier jugement et ayant entraîné la Liquidation.
1. LA
TIERCE OPPOSITION DE HELP BERGERIE : Si le recours en Tierce
Opposition déposé par Help Bergerie se fonde sur les mêmes
éléments que ceux développés dans le blog de leur Collectif, éléments qui
se recoupent d’ailleurs avec le courrier adressé au Préfet… C’est clair, Help
Bergerie ne produit d’une part aucune pièce nouvelle qui soit
directement liée au dossier (les mises en causes directes de la
gestion par le Cabinet Huertas – cabinet qui a été mis en place par les mêmes
juges qui ont statué sur la Liquidation – revenant en fait à mettre en cause
indirectement le Tribunal ! – ainsi que les mises en cause d’un obscur
groupe des « 51 », n’ont aucune chance d’être reconnues par le
Tribunal dans la mesure où ce qui a conduit la SCF à la mise en
Liquidation c’est le nombre croissants des impayés au niveau des charges
d’occupation), ni aucune solution nouvelle qui
garantirait la remise sur pied financière de la SCF (la volonté de
vouloir faire organiser une AGE – qui de toutes façons est impossible à
organiser du fait du nombre important d’associés inconnus de la SCF - , et de
mettre en place un Syndic extérieur ne porte en soi aucune proposition
de solution pour le rééquilibrage des comptes, ni aucune solution pour trouver
l’argent nécessaire au redémarrage et à la remise aux normes du Domaine)
1. LA
TIERCE OPPOSITION DES « BONS PAYEURS » BASEE SUR LE PROJET DE REPRISE
QUI SERA DEFENDUE PAR MAITRE LAUER : A l’inverse de la Tierce
Opposition de Help Bergerie, celle que nous (les « bons payeurs »)
voulons défendre devant le Tribunal se base sur la présentation de pièces
nouvelles (négociations en cours pour un renouvellement du Bail
Emphytéotique, et un plan d’apurement négocié entre les créanciers
et la SCF -> et ne reposant donc pas sur une supposé solvabilité
des porteurs de parts en tant que personne, comme voudrait
l’obtenir Veolia avec l’aide de Help Bergerie, via des reconnaissances
de créances personnelles, comme expliqué dans le courrier que le Collectif
a fait circuler et signé par leur avocat), de solutions juridiques pour
créer les conditions d’une véritable gérance qui soit viable
en termes de responsabilité (juridique et financière) et de
représentativité (majorité de parts sociales) et de financement
pour faire en sorte que la SCF soit à même de réaliser les travaux de mise aux normes
du Domaine et de redémarrage des infrastructures (qui sont eux-mêmes
les conditions obligatoires pour un renouvellement du bail).
1. LE
RENOUVELLEMENT DU BAIL EMPHYTEOTIQUE : Pour pouvoir obtenir les
financements nécessaires à une remise sur pied du Domaine, il faut
impérativement obtenir un renouvellement du Bail. Les six ans qui restent
actuellement à courir n’étant bien sûr pas suffisant pour pouvoir espérer
rembourser un quelconque prêt, ce que nous cherchons donc à obtenir (c’est
l’objet des négociations avec la Municipalité du Castellet) c’est une
promesse de renouvellement du bail emphytéotique pour une période
minimum de 30 ans, renouvellement qui ne se fera bien évidemment que sous
réserve de l’obtention des financements nécessaires à la normalisation du
Domaine et au redémarrage de ses infrastructures. Et pour obtenir cette
promesse, il faut que nous soyons en mesure de garantir à la Municipalité que
nous aurons les moyens juridiques nécessaires pour solvabiliser d’une manière
définitive la SCF (d’où l’obligation de reconstituer une gérance stable qui
pourra modifier les statuts dans le sens nécessaire).
1. LA
RECHERCHE DES FINANCEMENTS NECESSAIRES : La recherche des financements est
liée directement, d’une part à la possibilité de renouveler le bail
pour une période suffisamment longue qui garantisse de pouvoir rembourser les
emprunts, et d’autre part à la constitution d’une gérance qui
puisse réellement garantir la solvabilité de la SCF (gérance assise
sur un socle majoritaire de parts sociales et qui donc puisse garantir une
refonte des statuts permettant de réorganiser la gestion du Domaine, de régler
le problème des mauvais payeurs et de réintégrer au patrimoine locatif de la SCF
l’ensemble des parcelles en déshérence). Ce que nous cherchons donc à obtenir
des financiers, c’est la promesse d’un financement entre 1,5 Million et
2 Millions d’euros, qui sont le montant estimé (chiffrage définitif
toujours en cours) pour l’ensemble des travaux de normalisation (Sécurité
incendie, réseau eau et électricité etc…) et de redémarrage des infrastructures
(enrobés, assainissement, éclairages, individualisation des alimentations eau
et électricité, sécurisation du Domaine etc…), sous réserve du
renouvellement du bail, de la reconstitution d’une gérance stable
représentative en nombre de parts, et de la refonte nécessaire des statuts
garantissant la mise en place d’un gestion saine et pérenne de la SCF.
1. LA
NEGOCIATION AVEC LES CREANCIERS : De la même manière que le
renouvellement du Bail et l’obtention des financements nécessaires sont
intimement liés l’un à l’autre, l’obtention d’un plan d’apurement de la
dette avec les différents créanciers de la SCF est intimement lié lui aussi à
la fois au renouvellement du Bail, et à l’obtention des financements
nécessaires au redémarrage de la SCF. D’autant que le projet de reprise,
basé sur une cession de parts en nombre suffisant (objectif à atteindre de 2260
parts sociales) pour pouvoir garantir une majorité de gestion et de décision,
induit que les porteurs ayant libéré les parts qu’ils détenaient auront
du même coup transféré la garantie de remboursement des dettes et des emprunts
sur la seule SCF (d’où l’obligation de prouver par le socle de gérance
et la refonte des statuts que la SCF sera bien en mesure de tenir seule ses
engagements, et donc l’assistance pour l’élaboration du Plan de Reprise d’un
cabinet d’expertise comptable). Ce que nous cherchons donc à obtenir des
créanciers, c’est la promesse d’un plan d’apurement des dettes à
présenter au Tribunal, et qui aura été négocié (toujours pareil) sous
réserve que le bail soit renouvelé, que les financements aient été trouvé et
que la gérance du Domaine présente les garanties suffisantes de solvabilité.
1. LES
CONDITIONS DE LA GERANCE : S’il s’avère donc qu’absolument rien ne
sera possible sans le partenariat de la Municipalité, il apparait surtout
que les garanties attendues par l’ensemble des parties qui sont liées
au dossier Bergerie passent toutes sans exception par la nécessité d’enfin
pourvoir constituer une gérance réellement crédible et représentative. La
représentativité indiscutable de la gérance passe obligatoirement par le nombre
de parts détenu (au minimum 2260 parts, puisqu’il existe 5550 parts
sociales de la SCF en circulation). La crédibilité de la Gérance et de
la gestion à mettre en place pour solvabiliser le Domaine passent
obligatoirement par une refonte des statuts qui ne doit pas pouvoir être remise
en cause (donc encore une fois, avec une majorité indiscutable de
parts à l’appui).
1. LES
CONDITIONS DE MAJORITE DANS LES STATUTS DE LA SCF : Contrairement à
ce qui a été expliqué dans les différentes réunions du Collectif Help Bergerie
(par ignorance des textes de Loi ou pure volonté de nuire ?), le
projet de reprise que nous proposons se fonde non seulement sur les
textes relatifs à la Loi de Finances pour 2015, mais aussi et surtout sur les
Statuts existants de la SCF… et plus particulièrement les articles
32, 35 et 40 du Titre IV de ces mêmes Statuts. Ces différents articles
précisent les conditions de gérance, de pouvoir lors des Assemblées
(Extraordinaires, ou Ordinaires), et surtout conditionnent le nombre de
voix à exprimer pour décision au nombre de parts détenues. D’où cet
objectif à atteindre des 2260 parts sociales pour constituer un socle de
gérance indiscutable.
1. L’OBJECTIF
DES 2260 PARTS SOCIALES A REUNIR EN UN SEUL BLOC DE MANIERE A CONSTITUER UNE
GERANCE DE FAIT : avec un nombre de porteurs de parts inconnus (un nombre d’associés
inconnus) évalué entre 50 et 100 associés, l’élection d’un gérant
statutaire indiscutable (c'est-à-dire dont les décisions ne pourront
pas être remises en cause) est tout simplement impossible. L’absence
d’un gérant statutaire indiscutable ôte donc de fait toute crédibilité de
parole ou d’engagement, et toute représentativité à une éventuelle structure de
direction de la SCF qui ne serait pas assise sur le principe d’un socle
majoritaire de parts sociales détenues en propre. C’est l’objectif à
atteindre de 2260 parts sociales. A partir du moment où un porteur
unique pourra se prévaloir de ces 2260 parts sociales minimum, les décisions
qu’il pourra prendre (étant majoritaire en parts, et donc le plus important des
associés) engageront l’ensemble de la société(comme c’est le cas dans
toutes les entreprises où, pour que l’entreprise fonctionne correctement, il
faut que la gérance en place soit réellement représentative et investie d’un
réel pouvoir de décision). C’est ce que l’on appelle une « gérance de fait »
(non statutaire, mais investie du pouvoir réel de décision)
1. LA
CESSION DES PARTS SOCIALES : N’oubliez pas que la SCF a déjà
été liquidée, et que donc les parts sociales qui la constituaient ont
disparu avec elle. De la même manière donc que le renouvellement du
bail à obtenir, les financements et les accords d’apurement de la dette à
négocier ne sont que des promesses « sous réserve de… », les cessions
de parts sociales à organiser pour obtenir le regroupement de toutes les parts
en un seul bloc majoritaire ne sont en fait pour l’instant que des « Promesses
de Cession de parts, sous réserve que la décision de Liquidation puisse être
annulée, la SCF remise sur pied, la gérance constituée selon les termes du
projet de reprise, le renouvellement du bail obtenu, de même que les
financements et les accords d’apurement de la dette ». Si l’ensemble
des conditions sont réunies, et seulement si, les promesses de cession
deviendront une cession définitive des parts. Si l’ensemble des
conditions ne sont pas réunies, cela voudra dire que les parts ne seront pas libérées
par les porteurs qui les détiennent, tout simplement parce qu’elles
continueront de ne plus exister, le jugement de liquidation ayant sans doute à
ce moment là été confirmé par le Tribunal.
1. LA
LOI DE FINANCES POUR 2015 : Pour faire en sorte que le projet
de reprise que nous présentons ne puisse pas être contesté devant le Tribunal,
surtout en ce qui concerne le montage juridique lié à la mise en place
d’une gérance de fait (qui en est une des conditions obligatoires), ce
projet de reprise a été entièrement travaillé à partir d’une part des statuts
existants de la SCF, et des textes de Loi en vigueur. Et plus
particulièrement la Loi de Finances 2015. Vous trouverez toutes les
informations relatives à cette Loi de Finances pour 2015 concernant l’organisation
et les pouvoirs de la gérance d’une SCI(même statuts qu’une SCF) sur ce
lien
http://www.documentissime.fr/dossiers-droit-pratique/dossier-173-la-societe-civile-immobiliere-sci/le-fonctionnement-de-la-societe-civile-immobiliere/la-gerance-de-la-sci.html
1. LES
AVANTAGES ET GARANTIES POUR LES PORTEURS CEDANT LEURS PARTS SOCIALES : Le premier des
avantages est de ne plus être chargé ni de la dette (ayant induit la
liquidation de la SCF), ni des obligations financières liées au fait d’être
porteur de parts(c'est-à-dire plus aucune garantie sur le patrimoine, ni
aucune responsabilité financière qui pourrait être invoquée par rapport à des
décisions ou des investissements de la SCF reconstituée). Si grâce au projet de
reprise la Liquidation est annulée, cela veut dire que les parcelles et
ce qu’il y a dessus aussi sont sauvés. En termes de garantie, il
est entendu que les promesses de cession de parts se font « sous réserve
que les différents droits de jouissance (Usage et Usufruit) soit garantis dans
les nouveaux statuts de la SCF exactement dans les mêmes termes que ce qu’ils
étaient dans les précédents statuts avant la mise en Liquidation ». A
savoir la possibilité d’occuper soi même son mobile home ou son chalet (c’est
l’Usufruit), ou la possibilité de le revendre, de le louer, de le prêter, de le
donner ou de le donner en héritage (c’est l’Usage)… sous réserve d’être à jour
de ses charges d’occupation.
1. L’INDEMNISATION
DES PORTEURS CEDANT LEURS PARTS POUR L’EURO SYMBOLIQUE : Etant donné que
la condition Sine qua Non du plan de reprise est la constitution d’un bloc de
parts majoritaires, donc portées par un porteur unique, et que cette opération
ne sera rendue possible que par la promesse de cession des parts, il sera
étudié avec notre avocate de quelle manière (et si c’est juridiquement
possible), dans les nouveaux statuts de la SCF, il pourra être précisé que par
dérogation, à titre d’indemnisation, au moment de la revente d’un mobile home
ou d’un chalet, le droit d’entrée normalement perçu par la SCF puisse être
rétrocédé aux anciens porteurs de parts qui auront été associé au Plan de
Reprise.
1. LE
DROIT D’ENTREE : A partir de la refonte des statuts, et hormis pour les
porteurs détenant toujours des parts sociales pour qui les mêmes dispositions
statutaires continueront de s’appliquer, tout nouvel occupant du
Domaine (via la vente d’un mobile home ou d’un chalet, ou via
l’installation sur une des parcelles du Domaine en gestion locative directe) ne
sera plus obligé de devenir porteur de parts (les parts sociales
n’étant plus à la vente) mais règlera tout simplement, comme c’est le
cas ailleurs dans tous les autres PRL, un Droit d’Entrée dont le
montant sera précisé au moment du rendu, par le Cabinet d’Expertise Comptable
qui nous accompagne, du Prévisionnel Financier sur lequel sera basé le
Plan de Reprise.
1. LES
CHARGES ET CONDITIONS D’OCCUPATION : Il est également
entendu que le fait de vouloir refondre les statuts n’induit aucune
volonté de vouloir augmenter les charges dans des proportions folles, ni de
vouloir imposer comme c’est le cas ailleurs une standardisation des mobile home
ou des chalets. Comme pour les différents droits de jouissance, les
charges d’occupation seront fixées dans les statuts à un montant connu à
l’avance de tous, indexés annuellement sur un indice INSEE et que nous pensons
pouvoir arrêter autour de 250 euros. Le montant définitif des charges
devant de toutes façons être défini par le cabinet d’expertise comptable (COFAC
PACA) qui nous accompagne sur le dossier, en fonction des comptes d’exploitation
prévisionnels qui seront joints au projet de reprise. De la même façon qu’il
n’existait pas d’obligation d’aménagements particulières sur le Domaine dans
les précédents statuts, il n’y en aura pas dans les nouveaux non plus. De
la même façon, il n’y aura pas de délocalisation arbitraire de mobile
home d’une parcelle sur une autre. Il faut arrêter d’écouter les ragots et
les médisances.
1. LA
REFONTE DES STATUTS : en réalité, la refonte des
statuts ne concernera que les dispositions à prendre pour rendre cohérents
entre eux les différents articles (déjà existants) qui définissent les
conditions de jouissance sous réserve du règlement des charges d’occupation.
C'est-à-dire la possibilité de poursuivre efficacement et de régler une
bonne fois pour toutes la question des mauvais payeurs (désignation
des occupants comme interlocuteurs de la SCF, individualisation des
consommations en eau et en électricité, ouverture ou fermeture des
alimentations à partir du bureau de l’accueil en fonction de l’état des en-cours
dus, procédure statutaire pour récupérer la gestion des parcelles en
déshérence), la sécurisation du Domaine (tenue d’un registre
d’occupation qui est d’ailleurs une obligation, sécurisation des entrées et des
sorties, filtrage des véhicules autorisés et de ceux des visiteurs occasionnels
-> non pas pour empêcher l’accès, mais pour savoir qui circule à l’intérieur
du Domaine, ne serait ce que pour une question d’assurances) et enfin une
organisation de la gestion locative (puisque le Domaine de la Bergerie
est un PRL)
1. LES
CHARGES D’OCCUPATION : Il est entendu que le fait de vouloir
présenter un Plan de Reprise pour sauver le Domaine n’est en aucune façon une
tentative de spéculation foncière comme certains voudraient le faire
croire ! Le but est au contraire de tenter de pérenniser ce qui
existe, dans les conditions les plus proches possibles de ce qui existait au moment
de la mise en liquidation. Mais pour ce qui concerne par exemple les
charges d’occupation, il est évident qu’une des causes de l’écroulement
financier de la SCF a été l’inadéquation entre le montant des charges
d’occupation et le coût réel d’entretien et de fonctionnement du Domaine.
En partant donc du principe que le but est d’essayer de garder au
maximum un montant faible de charges d’occupation, qui ne pourra à priori
pas être inférieur à 250 euros par mois, il est entendu que cet objectif devra
de toutes façons être validé par le Cabinet Comptable dans le Compte
Prévisionnel d’Exploitation du Projet de Reprise. Le montant des
charges étant directement lié aux coût des infrastructures et services que nous
voulons pour notre Domaine et lieu de vie. Plus nous souhaitons développer
ces infrastructures et ces services, et plus cela aura une incidence sur le
montant des charges d’occupation. Il faut donc vraiment réfléchir
collectivement à ce que nous souhaitons pour l’avenir de la Bergerie, et que
cela soit arrêté avant la présentation du dossier au Tribunal. Toutes vos
suggestions sont donc les bienvenues.
1. L’INDIVIDUALISATION
DES CONSOMMATIONS D’EAU ET D’ELECTRICITE : Le projet de reprise, dans le but
de prendre acte des évolutions au niveau de l’occupation du Domaine dont les
parcelles ne sont plus occupées uniquement pour des périodes de vacances, mais
aussi par un grand nombre d’occupants à l’année, prévoit une individualisation
des alimentations en eau et en électricité. D’une part afin que les
occupants n’aient à payer que ce qu’ils consomment réellement, et d’autre part,
et surtout, pour éviter les dérives dues à des mauvais payeurs.
Consommation d’eau et d’électricité non réglée voudra dire arrêt immédiat de la
fourniture (rendue possible par une commande d’ouverture et de fermeture des
réseaux contrôlée depuis le bureau de l’accueil comme c’est le cas dans tous
les autres PRL).
1. LA
GESTION LOCATIVE : La mise ne place d’un véritable système de gestion
locative, comme il en existe dans tous les PRL, n’a pas pour but d’imposer des
barèmes de location, ou de prélever de quelconque commissions. La mise en
place d’un tel système a d’abord pour but de pouvoir gérer les parcelles
qui seront rendues à l’actif de la SCF(parcelles abandonnées, ou saisies
suite à des impayés), de manière à ce que le CA locatif généré par ces mêmes
parcelles puisse créer un flux de trésorerie régulier
qui nous permette de maintenir des montants de charges d’occupation
faible aux alentours de 250 euros. L’existence d’un flux de trésorerie
indépendant, lié à un parc locatif en exploitation directe de la SCF est aussi
pour celle-ci, une garantie supplémentaire de solvabilité (très
important pour la négociation de financements). Pour ce qui concerne les
sous-locations (les occupants du Domaine qui sont propriétaires de leur mobile
home, sont cependant locataires de leurs parcelles… s’ils louent leurs mobile
home à des tiers il s’agit alors d’une sous location), elles seront autorisées
de la même manière que dans les précédents statuts avant Liquidation, toujours
sous réserve d’être à jour des charges d’occupation. Pour une question de
sécurité et de savoir qui réside sur le Domaine, les remises de clés se feront
par contre au bureau de l’accueil, à l’arrivée, et au départ des
sous-locataires. Ce sera la seule modification.
1. LES
PARTS SOCIALES QUI N’AURONT PAS ETE CEDEES : Le fait de céder ses parts
sociales dans le but de constituer un socle majoritaire de parts n’est bien sûr
pas une obligation. Ceci dit, si le projet de reprise se propose d’opérer un
rachat complet de la dette ayant conduit à la liquidation de la SCF, et que du
même coup, les porteurs ayant cédé leurs parts se voient donc libérés de
toute obligation de remboursement et d’accompagnement financier de la SCF
reconstituée (levée du nantissement existant sur toutes les parcelles
concernées)… les autres porteurs, toujours détenteurs de parts,
continuent de se retrouver associés de plein droit. Et donc co-responsables
du plan d’apurement négocié avec les créanciers, ainsi que du remboursement des
emprunts qui auront été nécessaires pour la mise aux normes et le redémarrage
des infrastructures du Domaine. Concrètement, et jusqu’à la fin des
remboursements, les parcelles qu’ils occupent continueront d’être
nanties en totalité, à proportion des dettes restantes et du nombre de parts
détenues.
1. LE
PORTEUR QUI SERA DESIGNE COMME CESSIONNAIRE DE L’ENSEMBLE DES PARTS LIBEREES
DANS LE BUT DE POUVOIR PRESENTER UN PLAN DE REPRISE COHERENT : Pour finir, et
au contraire de ce qui se dit, le fait de se charger en tant que
personne physique de l’ensemble des parts libérées par les porteurs qui veulent
s’associer au plan de reprise n’est certainement pas une tentative de spolier
qui que ce soit… tout simplement parce que ces parts n’existent déjà plus.
De plus, le fait de se charger de l’ensemble des parts libérées
signifie surtout se charger personnellement de l’ensemble de la dette + du
remboursement des 1,5 à 2 Millions d’euros d’emprunt qu’il va falloir lever
pour normaliser et faire redémarrer le Domaine… sans parler de la
charge morale que représentera, en termes de responsabilité, le fait d’avoir à
porter sur ses épaules devant le Tribunal le devenir de toutes les personnes
qui nous auront fait confiance et pour qui ce projet de reprise représente le
seul espoir de ne pas tout perdre.
écrit
bonsoir.
tout dabord merci a maitre lauer pour sa collaboration dans ce beau projet.merci a vous laurent pour votre implication dans le domaine malgré les nombreux coups bas portés a votre encontre...vous avez tout notre soutien et nous croisons les doigts pour que tout cela aboutisse.un vrai projet,de nouvelles bases sortir de ce systeme qui a ruiné le domaine depuis 30 ans.j espere que beaucoup prendront le temps de le lire.se renseigneront.et prendront de sages decisions.au plaisir de vous lire
écrit
Tout a fait d'accord avec vous André mille merci a maître Lauer quoiqu'il arrive dans les jours ou semaines a venir aura fait tout son possible pour nous aider.. Un grand merci a Laurent ainsi qu'a ceux qui sont dans l'ombre ils se reconnaîtrons .pour l'avenir de la bergerie qu'elle soit plus belle que les années passés
écrit
Bonjour, je suis intervenu de nombreuses fois auparavant sur le blog. C'est moi qui est publié la lettre ouverte à HUERTAS. Mon nom est André, et afin qu'il n'y ai pas de confusion avec (andré du commentaire 1), dorénavant, si j'ai a intervenir à nouveau, je signerai sous (André AAA)
écrit
Bonjour, pour que nous puissions vous informer sur votre situation, il est nécessaire de nous contacter par le formulaire de contact.
Cordialement
écrit
Le fait que la commune du Castellet soit rappelée a l'ordre pour ne pas remplir correctement le S.R.U. n'est-il pas une chance a saisir ? en effet, le maire a a sa disposition suffisamment d'emplacement pour être a jour et ne plus avoir de pénalités a payer !
écrit
Réponse à Thierry
Le problème est que les emplacements existants sur le Domaine ne comptent pas comme tel dans le PLU de la commune.
Il faudrait pour cela que la Mairie se porte acquéreuse du Domaine lui même, donc racheter les dettes qui vont avec + les travaux de mises en conformité + la construction de véritables structures d'hébergements sociaux en dur...
Nous n'entrons pas dans ce cadre là.
Si la Mairie décide de nous aider, ce sera avec l'assurance que le renouvellement du bail ne lui coûtera pas un seul centime. C'est toute l'idée du Projet de Reprise... amener nos propres solutions de financement pour ce qui est du remboursement des dettes de la SCF, et d'autre part pour ce qui est des travaux de mises en conformité sans lesquels il n'y aura pas de possibilité de renouvellement du bail.
écrit
bonsoir
POURQUOI DEVONS NOUS FAIRE PASSER A TOUT PRIX LE PROJET DE REPRISE ET POUR CELA OBTENIR LES 2260 PARTS SOCIALES
1° pour prouver que les choses peuvent changer avec une majorité de porteurs qui portent un véritable projet avec un gérant statutaire
2° pour éviter la liquidation
GRAVISSIME pourquoi
(j'ai encore lu sur les blogs que la liquidation effaçait la dette !) FAUX
- nous aurons à payer toutes les dettes de la SCF
- nous aurons à payer le coût de la déconstruction du domaine qui pourrait être la partie la plus importante des sommes à payer
- nous aurons à payer les différents coûts de procédure y compris les coûts pour déloger les occupants qui occuperont illégalement de fait les lieux, plus cela durera dans le temps plus les coûts seront importants
- puis vient la cerise sur le gâteau, la solvabilité des porteurs de parts eux-mêmes
difficile à estimer à ce jour mais qui pourrait être une très mauvaise surprise
SUR COMBIEN D'ENTRE NOUS (Solvables) REPOSERA REELLEMENT LE COUT TOTAL
rappel : étant co solidaires par les statuts, les sommes qui seront dues par les insolvables viendrons gonfler les sommes dues des solvables
Il se pourrait que cela atteigne pour chaque porteurs de parts solvables, plusieurs milliers d'euros
IL FAUT QUE NOUS PRENIONS TOUTE LA MESURE DE L'ENJEU ET NOUS DONNER LA CHANCE ULTIME D' ÉVITER LA LIQUIDATION
ARRETONS DE CROIRE AU MIRACLE, SI NOUS NE SAISISSONS PAS CETTE OPPORTUNITE NON SEULEMENT NOUS PERDRONS NOTRE BIEN MAIS EN PLUS NOUS SERONS OBLIGES DE PAYER CE QUE NOUS DEMANDE LE LIQUIDATEUR, EN FAISANT DES EMPRUNTS OU EN HYPOTHÉQUANT NOTRE HABITATION PRINCIPALE (ce sera mon cas, tant mieux pour les porteurs de parts qui auront suffisamment de liquidité, mais je ne pense pas que ce soit la majorité, loin de là !
croyez bien que je suis navrée de tenir ces propos sur ce blog, mais il faut regarder la réalité en face et agir
écrit
bonsoir
commentaire 17 ne soyez pas navrée
voilà qui est clair et même si ça ne fait pas plaisir à lire, je pense que nous ne devons pas nous voiler la face
pour ma part, j'ai fait le nécessaire pour céder mes parts il y a déjà plusieurs semaines et prie pour que le maximum de porteurs solvables qui lisent les blogs et n'ont pas encore pris la mesure du danger et les conséquences terribles qui se profilent, aient le déclic et nous rejoignent
je suis convaincu que certains porteurs qui peuvent se sentir classés dans les mauvais payeurs mais qui ont eu le courage et l’honnêteté de négocier un plan de remboursement de leur dette auprès de Me Huertas peuvent peut-être aussi s'engager sur notre projet
il n'est jamais trop tard quant on veut bien faire
courage à nous tous et merci à l'équipe qui s'active et nous permet de tenir bon
écrit
bonsoir à tous,
je voudrai savoir si nos colotis Anglais sont aussi concernés par le remboursement de la dette et seront poursuivis jusqu'en Outre-Manche ?????
merci pour votre réponse
merci à tout ceux qui ont compris ou est leur intérêt et surtout leur avenir.
écrit
Réponse à Candide
Bonne question. En fait pour ce qui concerne les porteurs de parts étrangers (qu'ils soient Anglais ou Belges ou Italiens etc...), les aspects les plus contraignants de la Liquidation, à savoir les poursuites sur la Dette ne s'appliquent pas.
Il n'y a en effet pas de règles de réciprocité dans ce domaine précis puisque les droits des sociétés est très différent d'un pays à un autre... et encore plus quand il s'agit de responsabilité financière d'entreprise et de garantie sur le patrimoine.
Donc à part perdre leur mobile home ou leur chalet, nos amis Anglais ou d'autres nationalités ne risquent rien ou pas grand chose.
écrit
Merci Laurent pour cette réponse, elle ne me satisfait pas pour autant, mais elle confirme ce que je pensais.
bonne journée
écrit
en cas de liquidation, seule la parcelle est concernée, pas ce qu'il y a dessus ?? il doit etre possible de vendre le mobil-home ou le chalet seul me semble t-il ????
écrit
bonsoir
réponse à Thierry
NON
la parcelle et ce qu'il y a dessus chalet ou mobilhome, plus rien ne nous appartient à partir du moment ou la liquidation est prononcée
(lire le compte rendu du 12 octobre page détail de projet de reprise, tout est très bien expliqué)
PAR LA PROMESSE DE CESSION DE PART( sous condition que la liquidation soit annulée)
nous ne possédons plus nos parts( parce que cédées d'accord) et donc nous ne sommes plus assujettis à la dette car ce sont justement ces parts qui sont la base juridique sur laquelle vont se fonder les poursuites du liquidateur
nous resterons propriétaire de nos chalet et mobilhome, pouvant les habiter les louer les vendre les donner etc
seul le droit d'occupation de la parcelle aura pour condition le paiement de 250 euros environ par mois pour le fonctionnement du domaine, seuls eau et électricité seront en plus avec compteur privé;
si vous voulez rester propriétaire de vos parts vous serez assujetties à la dette
LISEZ LES DETAILS DU PROJET DE REPRISE DANS COMPTE RENDU DE REUNION SURLE BLOG
écrit
Faux, lors du passage devant le notaire j'ai acheté une parcelle vierge !!! juste le prix des parts.
j'ai installé dessus un mobil-home qui ne fait pas partit de l'acte notarié et ne peut donc etre retenu dans l'etat des lieux ..... je peux donc vendre mon mobil-home !
voilà pourquoi je pose des questions ....
écrit
en reponse a Anonyme 13, je fais partit comme vous je le pense, des gens qui payent leur 205 euros par mois (et cela depuis mon installation en 2011) donc ce n'est pas 45 euros de plus qui me font peur .... juste qu'apres Urbania, Gespac, Huertas j'ai pas trop envie de "nourrir" certains sur leurs parcelles qui ne payeront jamais rien ! Pouvez vous m'assurer que si je cede mes parts, donc suis a jour de toute demande, les personnes qui ne payent pas seront exclues du domaine ???? certains ont essayé, sans résultat !!
écrit
Bonsoir Thierry, je me permets de répondre à votre commentaire pour vous expliquer quelque chose de mathématique.
voilà : supposons que notre projet échoue, ce qui n'arrivera pas je l'espère, le liquidateur
va chercher le montant exact de la dette +/- 3000000€ ensuite il va éliminer tout les non solvables, et sur ceux qui restent il va répartir la dette à payer. Alors selon le montant qu'il aura défini si votre mobil-home vaut plus que ce qu'il vous demandera de payer vous aurez toujours le choix le moment venu de lui dire, je garde mon mobil-home et je paie ma part de dette.
si votre mobil-home ne vaut plus rien il faudra peut-être voir avec le liquidateur combien il va vous l'évaluer pour payer votre part de dette (si toutefois il en veut)
je pense que beaucoup sont dans le même cas que vous et avec des chalets non démontables qui n'étaient pas là non plus lors de l'achat de la parcelle.
alors réfléchissez bien avant de tirer votre mobil-home avant la date fatidique, car en plus, vous allez payer très cher un transport qui ne serait peut-être pas nécessaire si le projet abouti.
la nuit porte conseille
bonne soirée
écrit
BONSOIR THIERRY
pour vous aider à prendre une décision
allez sur la page d'accueil du blog, puis allez sur VAR MATIN, et lisez les commentaires 17 et 18 SNJC il y a un résumé qui fait bien ressortir où se trouve notre intérêt
pour vous éclairer quant à votre indignation relative aux "profiteurs de situation" allez
relire dans le compte rendu de la réunion du 12 octobre dans les détails du projet de reprise le chapitre 19
moi, cela m'a beaucoup aidé dans ma prise de décision
de toute façon, on ne prend que le risque que le projet soit accepté et que la liquidation disparaisse de notre horizon, c'est vital pour la suite
sinon c'est le retour à la case départ LIQUIDATION pour tous, mauvais et bons payeurs, mais avec une très grosse somme à payer pour les bons solvables
je vous souhaite de faire le bon choix en votre âme et conscience
nous ne sommes pas loin du but, maintenant il faut se décider !
bon courage, je pense bien à vous
écrit
moi ce qui me gene c'est de "donner" des parts a une seule personne ..... n'est-il pas possible de créer une sorte de "collectif de reprise", excusez le mot ... plutot qu'une seule personne, dont je ne mets pas l’honnêteté en doute, mais qui sait dans l'avenir .. ou de recréer un groupe ou autre ????
écrit
Thierry, je ne veux pas me mettre en colère ce soir, j'aimerai bien passer une bonne nuit
mais dites moi quelle importance cela peut-il y avoir que ce soit une seule personne. Avez-vous une autre solution à offrir ? Vous n'avez plus rien on vous l'a déjà expliqué
pardon je corrige : NOUS n'avons plus rien et nous allons payer très cher. Alors dites moi ou est le problème de donner ces P.........de parts qui nous ont foutu dans le pétrin et qui ne valent absolument plus riennnnnnnnnnnnn sinon une infime chance de faire
annuler la liquidation et de pouvoir peut-être conserver nos parcelles et nos toits sans avoir à payer les 3000000€ de dette que certains colotis nous ont gentiment laissé en héritage.Après quoi si le juge penche en notre faveur, si le système ne vous convient pas vous aurez toujours le temps et le droit de revendre votre parcelle pour mettre fin à vos tourments mais de grâce arrêtez de vous torturer l'esprit de la sorte.
Vous aurez tout le temps de le faire si le juge ne change pas d'avis
bonne soirée
écrit
Merci candide pour cette réponse plus qu explicite, il est bien évident que les personnes à qui le mode de fonctionnement ne conviendra, auront au moins récupéré la possibilité de mettre en vente.
écrit
Réponse à Thierry
La personne en question, c'est moi... Laurent... puisque c'est moi qui suis la cible de tout ! des caillasses, des accusations de vouloir gagner on ne sait quoi sur le dos d'on ne sait qui !
Alors je vais être clair... et encore plus clair que ça !
Ce n'est pas la question de récupérer des parts à une seule personne, ou deux, ou trois qui est en question ! C'est la crédibilité de la SCF elle même !
Au cas où vous ne le sauriez pas, la SCF de la Bergerie, depuis 1995 (c'est à dire plus de 20 ans), c'est cessation de paiement sur cessation de paiement ! Et avec toujours les mêmes excuses ! Ce sont les autres, les malfaisants, les Urbania, Huertas, les magouilleurs, ceux qui ne veulent pas payer etc...
Sauf que les premiers responsables ce sont les porteurs de parts eux mêmes, qui refusent obstinément ce qui est la règle dans n'importe quelle entreprise normale... un vrai patron ! Et oui, une vraie personne, un vrai type droit dans ses godasses et qui fasse réellement face à ses obligations, à sa responsabilité juridique et financière !
Tant que cette personne n'existera pas à la Bergerie, il n'y aura aucune possibilité de lever le moindre centime auprès des investisseurs...
Ah oui, j'oubliais... dans une SCF (même chose qu'une SCI), normalement, on n'a pas besoin de faire appel à des investisseurs extérieurs parce que les porteurs de parts ce sont engagés à garantir à la société la trésorerie nécessaire... trésorerie garantie sur la valeur de leur propre patrimoine... sauf qu'à la Bergerie, il n'y a pas un porteur de parts sur 10 qui soit à même d'assumer réellement son rôle d'associé : résultat, si l'on veut sauver la SCF (et avec nos habitations) il faut aller chercher de l'argent ailleurs !
Alors on va faire un truc simple, vous ne voulez pas donner vos parts ? Alors prenez celles des autres sur vous ! Et les miennes en premier !
Chargez vous des 2 millions d'euros de la dette + des 2 millions qu'il faudra en plus pour financer les travaux de remise aux normes !
Hypothéquez tout ce que vous avez... et l'avenir de vos enfants si vous en avez et que vous n'êtes pas en mesure de tenir vos engagements !
Prenez sur vous d'aller porter tout ça devant le tribunal ! Prenez sur vous les caillassages et les insultes ! Et les menaces ! Collez des palettes devant vos fenêtres pour éviter qu'on vous les fracasses la nuit à coups de pierre !
Prenez tout ça sur vos épaules et libérez moi de ce poids !
Perso, j'habite depuis 8 mois dans un mobile home qui n'a même pas l'eau chaude et qui ne m'a couté avec la parcelle que 10 000 Euros, alors je n'ai rien à perdre dans la liquidation du Domaine. Je n'ai pas de super chalet, je ne dois rien à la SCF parce que le peu de temps que j'ai vécu ici j'ai payé tout ce qu'on me demandait de payer !
Un peu de courage !
Rien n'est encore arrêté au niveau de celui qui se chargera des parts ! Nous n'avons encore rien fait signer à personne !
Vous êtes candidats ?
Un nom et un prénom, ça suffira pour les papiers, et une copie de votre carte d'identité ! Le dossier est quasiment bouclé, un peu de boulot pour vous mettre dedans et en appréhender un peu tous les aspects et ce sera OK !
Et je pourrai comme ça retourner à mes cartons... et essayer de retrouver un peu de paix.
écrit
message à vous tous
il faut soutenir LAURENT nous avons besoin de lui, il nous a donné l'espoir et les moyens d'essayer de nous en sortir, maintenant c'est à nous de lui donner notre confiance et nos promesses
écrit
soutenir laurent c est donner notre confiance a quelqu un de l exterieur me direz vous?peut etre parce que justement les gens de l intérieur on enVEUX PLUS!!!on veut un autre systeme,on veut de vrais règles on veut un vrai chef qui sache ce que l on peut faire ou pas dans la légalite.on veut quelqu un qui nous représente légalement et qui puisse faire entendre nos voix auprès des institutions.on veut un vrai chef qui maitrise son sujet(la bergerie)et qui nous portera a ce que nous attendons tous VIVRE EN PAIX..alors notre choix il est tout fait..entre une pseudo guerriere reine du mensonge ou devrais je dire des mensonges.et laurent ba y a pas photo.nous sommes fiers d avoir choisi le projet de reprise.ceux qui vivent sur le domaine depuis longtemps savent a qui ils ont a faire et ne cautionneront jamais que cette personne soit a la tete de la bergerie pas plus qu ils ne l ont soutenu pendant les municipales.quel pietre score d ailleurs...pour briller a la mairie encore faut il en avoir l intelligence....vous etes en guerre chere madame .nous nous ne le sommes pas !!!nous travaillons pour sauver nos toits mais pas avec vos méthodes.inciter a la haine comme vous vous le permettez n apportera jamais une unité.c est cela votre programme?puis enfin qui etes vous?une porteuse de part ni plus ni moins et vous n avez pas a nous représenter car vous n etes absolument RIEN!!!!!!
écrit
Bonjour Anonyme 36
j'ignore qui vous êtes, mais j’applaudis votre courage et votre franc parlé
Merci pour votre exposé, vous m'avez enlevé les mots de la bouche (ou plutôt le clavier des doitgs)
je pense aussi qu'il faut du sang neuf à notre tête et surtout quelqu'un qui connaisse les rouages de la justice afin d'éviter d'y être confronté dans le futur.
bonne fin de journée
écrit
BRAVO anonyme 23 ,nous devons tous SOUTENIR Laurent
écrit
Bravo a tous et toute pour votre soutien envers Laurent tout comme nous d'ailleurs... Merci a vous tous
écrit
bonsoir,
je suis ravie de ces élans envers Laurent,
c'est bien de lui renouveler nos appuis
depuis son engagement sa vie est difficile sur le camp et c'est bon de lui rappeler que nous sommes là aussi pour lui
nous ne sommes plus loin du compte, ne lâchons rien, même si on trouve que ça ne va pas assez vite - rejoignez le collectif
et merci à anonyme 23, à un moment il faut que les choses soient dites !
écrit
Bonjour à tous,
Nous somme sur le point d'adhérer au nouveau projet mais nous nous posons encore une question.
Comment sera financée la cession des 2260 parts pouvant nous permettre de reconstituer la SCF si ce n'est pas un apport en numéraire de chacun des anciens porteurs cédant leurs parts inexistantes ?
Notre souci est de savoir si nous allons devoir régler prochainement une certaine somme d'argent pour reconstituer la valeur de ces 2260 parts et pouvoir ainsi faire revivre le domaine.
Merci à celle ou celui qui voudra bien nous éclairer.
écrit
bonjour christine
en haut en gauche de la page d'accueil du blog, il y a un formulaire de contact entrer votre mail, votre nom, et taper votre question, Laurent ou une personne du collectif pour répondra directement par mail
c'est comme cela que j'ai procédé et ai adhérer au projet
vous verrez, ils sont formidables
consultez aussi sur le blog les autres sujets avec leurs commentaires celui qui dénonce les caillassages est très actif et donne beaucoup d'explication sur la situation et le projet par lui-même
merci pour votre décision d'adhérer au projet nous sommes prêts du but,
bienvenue et merci pour l'espoir que chaque nouveau adhérent comme vous apporte au projet
bonne journée
écrit
Réponse à Christine
Concernant le coût de la cession des parts (puisque forcément il y a un coût d'enregistrement), celui ci est intégré au financement. Ce financement étant lui même lié au fait de pouvoir reconstituer une SCF pérenne sur la base de statuts qui garantissent aux investisseurs de revoir leur argent et les intérêts de cet argent qu'ils nous prêtent.
C'est donc tout à fait logiquement que ce coût de cession est compris dans l'ensemble des dépenses nécessaires à la reconstitution de la SCF, à côté donc de celles qui sont directement liées à la normalisation du Domaine (elle même nécessaire pour pouvoir obtenir une reconduction du bail)
L'ensemble des coûts devant être couverts par la reconstitution d'un actif locatif propre à la SCF (retour des parcelles en déshérence + des parcelles saisies aux associés récalcitrants, en gestion locative directe), et cela de manière à ce que les remboursements ne pèsent pas sur les charges d'occupation elles mêmes (les besoins en compte courant de la SCF devant rester bien différenciés des besoins en trésorerie d'investissement de cette même SCF) et que nous puissions garantir de les maintenir au niveau le plus correct possible, c'est à dire aux alentours de 250 euros mensuels (c'est le prévisionnel d'exploitation défini par le cabinet d'expertise comptable en fonction des besoins du Domaine)
écrit
bonsoir
es ce qu il est possible de donner deja le nombre de personne qui on fait leur promesse de part,sa donnera peu etre du courage a toute les autres personnes......
cyrille
écrit
Bonjour,
Tout est clair maintenant pour nous. Merci pour vos réponses.
Nous remettrons toutes les pièces nécessaires à Monsieur Lattenzi la semaine prochaine.
Nous remett
écrit
A Christine
vous êtes formidable vous aussi
merci de nous rejoindre et bienvenue