Si vous lisez ce billet ce n'est pas par hasard, et si vous parcourez ce Blog avec intérêt, vous comprendrez aisément les nombreux problèmes que Le Domaine de La Bergerie subit, et qui interagissent directement avec nos vies.
Que ce soit au quotidien, ou durant votre séjour, vous ne pouvez pas ignorer l'ampleur de ces problèmes dès lors que vous franchissez l'entrée du Domaine. La vétusté des infrastructures nettement visible en est le premier indice alors que vos appels de charges révèlent eux, une incohérence entre ce que vous voyez et ce que vous payez.
Le Parc Résidentiel de Loisirs du Domaine de La Bergerie, situé dans le département du Var et limitrophe aux Bouches-du-Rhônes, présente comme beaucoup d'autres PRL situés dans des départements dont l'activité touristique représente une économie importante, le reflet d'une situation critique du marché immobilier face aux réels besoins tendant à transformer ces derniers en une solution de logements pérennes. Avec la crise du logement poussant de plus en plus de personnes vers un habitat non conventionnel, notre Domaine possède aujourd'hui une occupation de ses parcelles de 68% en habitation principale. Que ce soit en tant que locataire ou propriétaire, ces résidents "à l'année" sont en situation irrégulière dans la plus parfaite hypocrisie des pouvoirs publics. Une réalité que nous ne pouvons occulter et qui laisse en proie aux "requins" la gestion de notre Domaine.
Ainsi, à l'exemple d'une famille démunie en situation précaire louant pour logement un local à poubelles et qui n'ose dénoncer son "marchand de sommeil", certes, l'image est un peu forte mais vraiment représentative, les résidents "à l'année" en situation irrégulière eux, ont adopté depuis bien longtemps la politique de l'autruche : peu importe où va mon argent pourvu que l'on me laisse tranquille. Ajoutez à cela un habile discours sur les "mauvais payeurs" argumenté d'une comptabilité totalement opaque, et vous comprendrez comment le chaos, le désordre et la division peuvent régner sur Le Domaine de La Bergerie.
Ainsi, l'état déplorable des installations du Domaine comme l'état d'endettement de celui-ci sont le résultat inéluctable d'une gestion "vandale" visant essentiellement, depuis de longues années, à faire du profit.
Pour petit rappel, nous vous invitons à visionner une vidéo relatant la déchéance d'une copropriété mettant en cause directement la société Sagec Urbania Marseille (cliquez ICI), puis, pour ne pas perdre le fil du sujet, nous vous invitons à vous rendre sur le site de l'ARC et de l'UNARC (cliquez ICI) afin de vous imprégner des divers témoignages de pratiques illicites et abusives d'Urbania (tapez Urbania dans le moteur de recherche interne).
Enfin, une petite lecture du 'Site de La Bergerie', ICI, pour mieux comprendre comment M. Ivars durant près de 15 années, et maintenant M. Orru ont pu bafouer impunément la loi, nos statuts et nos droits, mettant sérieusement en péril la préservation de notre Domaine.
N'en déplaise à Madame Chantal Duc, Le Collectif dénonce tous ces abus dans l'unique espoir d'éveiller la conscience de chacun des propriétaires, afin que ceux-ci s'impliquent et se responsabilisent quant à l'avenir de leurs biens et de leurs jouissances.
Bien évidemment, cela n'est uniquement envisageable et réalisable, qu'avec une gestion saine du PRL, sous le contrôle exclusif du Comité Syndical de son Association Syndicale Libre (ASL), seul organe légal habilité à gérer et administrer notre Domaine.
Aujourd'hui, les propriétaires du Domaine sont victimes de tromperies et de tricheries les plus graves, visant à casser les efforts entrepris du Collectif pour rétablir la réalité de nos droits. Dans cette pénible tâche, la justice a son rôle à jouer. C'est pourquoi Le Collectif a réuni 97 propriétaires autour d'une procédure d'assignations en référés (lire billet ICI) dont l'audience, déjà 2 fois reportée, devrait se tenir le 15 mai prochain.
Pour l'instant, l'assemblée de l'Association Syndicale Libre est incapable de se réunir. Seul M. Orru, gérant de la SCF, détient le plan descriptif et nominatif du plan parcellaire du Domaine, alors que ce document devrait être en possession du président de l'ASL et être accessible par tout membre propriétaire associé que nous sommes tous.
En s'opposant, en toute illégalité le 19 novembre dernier, à l'élection d'un nouveau Syndicat d'ASL et ainsi à la nomination d'un président, M. Orru, gérant de la SCF, nous empêche d'avoir accès à ce document et ainsi de pouvoir réunir l'assemblée de l'ASL. Par la même, cela lui permet de priver le Domaine d'un conseil décisionnaire et ainsi de continuer l'accomplissement d'une gestion dévastatrice, illicite et abusive au risque de mener tout droit le Domaine à une situation de non retour. Ce qui laisse vraisemblablement penser, eu égard aux abus, tricheries et tromperies employés depuis le début de notre action (relisez chaque article de ce Blog!), que le plus redouté par le gérant de la SCF, outre le fait de perdre "la poule aux œufs d'or", est qu'un jour un organisme compétent mette le nez dans la comptabilité qu'un commissaire aux comptes, pourtant radié et condamné à ne plus exercer, a certifiée sincère et véritable durant dix années (lisez ceci ICI).
C'est donc ensemble que nous devons réagir et que nous arriverons à libérer la gestion prise en otage par Sagec Urbania Marseille, pour enfin sortir le Domaine de cette impasse.
écrit
Merci au Collectif de la bergerie, mais dorénavant, je vous appellerai le canard enchainé de la bergerie, car vous n’arrêtez pas d'aller à la pêche et de soulever les lièvres.
Bon sang quand tout le monde va enfin comprendre ?
écrit
J'espère que les résidents du domaine vont enfin réagir De Telles escroqueries ne peuvent continuer J'ai déja lu les articles sur Urbania sur le site Arc et autour de moi j'ai trois familles qui sont arrivées à se débarasser avec de grandes difficultés d'Urbania, c'est personnes habitent dans des résidences sur MarseillE Aujourd'hu, ils ont changé de syndic et tout se passe bien Alors serront nous les ooudes pour que se domaine survive et merci au collectif pour tout le temps qu'il consacre à nous défendre, arrêter de critiquer
écrit
juste pour rire
Coup de tonnerre dans le paysage judiciaire lorrain. Le 10 avril dernier, un avocat meusien a été mis en examen par un juge d’instruction de Créteil (Val-de-Marne) pour « blanchiment de banqueroute, abus de biens sociaux, abus de confiance et blanchiment aggravé par l’utilisation de facilités procurées par l’exercice de son activité professionnelle ». Cette robe noire encourt jusqu’à 10 ans de prison.
L’avocat, qui a été placé sous contrôle judiciaire et qui ne fait pas pour l’heure l’objet d’une interdiction d’exercer, est soupçonné d’avoir blanchi l’argent provenant d’un trafic de faux champagne. Comment ? En utilisant la CARPA (Caisse autonome des règlements pécuniaires des avocats). Sur cette dernière transitent les fonds que les avocats ont reçus de leurs clients dans le cadre d’un acte juridique ou judiciaire. Un versement provenant de la CARPA, outil de lutte et de prévention contre le blanchiment, est en effet assimilé à de l’argent « propre ».
écrit
Bergères et Bergers, voici un article intéressant qui date de 2010 et qui vous aidera sans doute à mieux comprendre ou vont vos appels de fonds:
Copropriété : la justice
enquête sur Urbania
·
· L'un des trois premiers administrateurs
de biens français est soupçonné de
détournements de fonds en utilisant des
prêts bancaires.
Coup de théâtre dans le monde des syndics de copropriété. Urbania,
l'un des trois premiers administrateurs de biens français, dirigé par
Michel Moubayeb, fait l'objet d'une enquête du parquet de Paris, suite
à une plainte pour abus de confiance déposée fin décembre par la
Société générale. Urbania est soupçonné de détournements de fonds
en utilisant des prêts bancaires (comptes reflets), dont le montant
total pourrait avoisiner 500 millions d'euros.
Petite explication. Les administrateurs de biens ouvrent des comptes
mandants, sur lesquels sont placées les avances de charges faites
par les copropriétaires afin de payer les dépenses courantes. La loi
interdit aux syndics de toucher à ces fonds de trésorerie qui sont très
importants. Dans le même temps, il est fréquent que les banques
prêtent aux syndics le même montant que celui déposé sur le compte
mandant (à l'euro près). Les fonds sont placés sur un compte
rémunéré, appelé compte reflet ou miroir et qui est investi sur des
actifs monétaires ou obligataires, sûrs et liquides, explique un proche
de la Société générale. L'objectif? Notamment, faire baisser les
honoraires des syndics rémunérés par les intérêts de l'épargne. À
noter que les comptes reflets ne peuvent être ouverts qu'avec
l'accord des copropriétaires.
Il y a environ un an, la Société générale a constaté une baisse subite
des fonds déposés sur les comptes mandants d'Urbania. La banque a
alors demandé à l'administrateur de biens de remettre les comptes
mandants et reflets au même niveau. Or, il est apparu après enquête
du tribunal de commerce de Nanterre auprès duquel la Société
générale a d'abord porté l'affaire en septembre, qu'une partie de
l'argent des comptes reflets avait été utilisé par Urbania pour acquérir des fonds de commerce ou racheter des intérêts détenus par
des actionnaires minoritaires.
500 millions d'euros en jeu
Les sommes en jeu seraient importantes. Le montant total des
encours bancaires accordés à Urbania par la Société générale
avoisinerait 200 millions d'euros. Mais d'autres banques auraient
également fait les frais des montages opaques de l'administrateur de
biens: Monte dei Paschi, la Banque française, Crédit agricole ou
encore Fortis. Ce dernier établissement a annoncé lundi qu'il
souhaitait dénouer ses relations commerciales avec Urbania. Au total,
les « prêts » consentis par les différentes banques à Urbania
s'élèveraient à 500 millions d'euros, soit trois fois plus que le chiffre
d'affaires de la société (environ 160 millions d'euros).
Lundi soir, les deux cofondateurs de Laforêt Immobilier, qui
appartient au même groupe qu'Urbania, ont jeté un pavé dans la
mare évoquant les raisons de leur éviction récente de Laforêt. «Il
apparaît que les objectifs financiers que Michel Moubayed avait
impartis à la société Laforêt Immobilier avaient pour unique but de
renflouer Urbania en difficulté financière et judiciaire, via son
holding.»
Si vous aviez encore des doutes sur la décision à prendre OU VAIS-JE VERSER MES APPELS DE FONDS
après avoir lu cet article, je pense que vous n'aurez plus aucun doute IL FAUT PAYER A LA CARPA
écrit
bonjour Anonyme 3
pensez-vous que votre information est un scoop et qui donc croyez-vous décourager avec cette information ???????
des avocats véreux il en existe de partout on est bien placé pour le savoir, mais ne mélangeons pas tout
celui dont vous parlez c'est servi de cette c aisse pour blanchir de l'argent en quoi cela nous concerne-t-il ?????
notre avocat à nous n'est pas véreux, il n'a rien blanchi à notre connaissance à ce jour et nos appels de fonds sont séquestrés sous bonne garde.
Alors, votre tentative de démoralisation des troupes est mal venue à mon avis et ne fonctionnera pas avec moi ni avec d'autres j'espère bien que les résidents de la Bergerie ne se laisseront pas avoir par votre commentaire
qui ne fait JUSTE RIRE QUE VOUS.