POINT SUR LA
COUPURE VEOLIA,
LA REUNION
AVEC LE PREFET DU 6 JANVIER
&
L’AUDIENCE DU 7 JANVIER 2016
Il est
évident que le décès, fin décembre 2015, du Maire « empêché » du
Castellet, Gabriel Tambon, aura une incidence sur les suites de notre dossier
en 2016… mais il faut se garder de
toute interprétation trop hâtive, et trop optimiste, des conséquences de cette
nouvelle donne en ce qui concerne la situation et l’avenir du Domaine.
Concernant
tout d’abord la coupure Veolia : Aussi bien les évènements de
dimanche soir dernier (bagarre autour d’une coupure volontaire pendant quelques
heures de l’alimentation en eau du Domaine à la suite d’une réunion improvisée
des « dissidents » Help Bergerie, avec comme résultat deux blessés, la Gendarmerie,
les pompiers, des plaintes déposées et une image toujours aussi
« positive » des habitants de la Bergerie vus de l’extérieur), que les échanges avec Nicole Boizis
(première adjointe assumant l’intérim en attendant la désignation officielle
d’un nouveau maire) au sujet de la population fragile résidant sur le Domaine
(un grand « Merci » à tous ceux qui, d’eux-mêmes, ont accepté, pour
le bénéfice de tous, de nous préciser des situations parfois difficiles ->
Situations au sujet desquelles nous prenons l’engagement que la SCF, si nous
arrivons à sauver le Domaine, essayera d’apporter toute sa contribution dans le
but d’améliorer l’accompagnement et la prise en charge)… enfin bref, ces
différents aspects du « problème Bergerie » ont incité la Commune du
Castellet à suspendre l’exécution de la coupure
qui était prévue (par autorisation municipale de l’ancien maire) entre le 4 et
le 5 janvier !
Mais
ATTENTION ! Il ne s’agit que d’une suspension ! C'est-à-dire que la
décision définitive au sujet de l’alimentation en eau (et au-delà, en
électricité) du Domaine, n’est pas jetée aux oubliettes, mais renvoyée à la
mise en place d’une nouvelle équipe municipale et à une décision
« administrative » concernant l’avenir du Domaine ! C'est-à-dire
que grosso modo, l’échéance n’est repoussée que d’une
quinzaine de jours, trois semaines au plus !
Le seul
aspect « positif » de cette nouvelle donne entre la Mairie, le
Tribunal (c'est-à-dire les créanciers) et nous (le Domaine au sens large),
c’est que cela nous donne 15 jours à trois semaines de plus pour arriver à
notre seuil de parts sociales !
15 JOURS A TROIS SEMAINES POUR ETRE EN MESURE DE
CONVAINCRE NOS DIFFERENTS INTERLOCUTEURS SUR CE DOSSIER QU’IL EXISTE POUR LE DOMAINE UNE
VERITABLE VOLONTE D’UNE MAJORITE DES PORTEURS DE PARTS DE REMETTRE SUR PIEDS LA
SCF SUR DE NOUVELLES BASES ETC (on ne va pas refaire toute l’histoire du Projet
de Reprise)…
Bref, convaincre la Mairie, les créanciers et les financiers
qu’un avenir viable est possible pour le Domaine.
Et si
personne n’est en mesure de convaincre personne au bout de ce délai de 15 jours
à trois semaines (c'est-à-dire à peu près la fin du mois de janvier) : LA QUESTION DES COUPURES DE L’ALIMENTATION EN EAU ET EN ELECTRICITE DU
DOMAINE VA REDEVENIR CENTRALE !
Concernant la réunion du 6 janvier avec le Préfet : Une réunion de près de deux
heures en présence du Préfet, d’un de ses adjoints, de Maître Lauer et de deux
élus de la commune du Castellet. C’est en fait une personne véritablement très
concernée par la situation du Domaine de la Bergerie que nous avons rencontré…
et surtout, très au fait et très bien informée des différents aspects du
dossier (y compris les plus récents évènements…ce qui est logique, le Préfet étant avant tout un officier
de Police)… y compris les détails les plus techniques du Projet de
Reprise (aussi bien ses aspects financiers, que ses aspects juridiques ou
administratifs en termes de ce que cela impliquera comme modification au niveau
de la direction et de la gestion du Domaine). Enfin bref, deux heures d’un
échange très constructifs sur comment nous imaginons l’avenir et ce que nous
attendons de la Mairie (en sachant
que le Préfet n’a aucune vocation à intervenir directement, ou même
indirectement dans les décisions d’un Tribunal ou d’une municipalité !).
Deux heures à la fin desquelles, et en l’état (c'est-à-dire tant que personne ne sera fixé, d’une part sur les
intentions réelles et définitives de la Commune du Castellet… et d’autre part,
sur les possibilités réelles de sortir de la liquidation que voudront bien se
donner les premiers concernés, c'est-à-dire les occupants du Domaine
eux-mêmes !) le recours à la Force Publique ne sera pas
autorisé !
Cela
signifie que tant que toutes les pistes
n’auront pas été exploitées, aucun moyen ne sera fournit par la Préfecture à
qui que ce soit, Mairie, créanciers ou autres, pour expulser qui que ce soit de
chez lui à la Bergerie… mais cela signifie aussi que si, au bout du compte, aucune solution viable ne peut
être trouvée, la fin administrative et physique du Domaine de la Bergerie (déjà
validée par la décision du Tribunal de nous mettre en liquidation) sera
entérinée par des avis d’expulsions, et sans doute par la mise à disposition
des moyens nécessaires d’y parvenir.
Donc encore
une fois, comme pour la coupure Veolia, il ne s’agit que d’un sursit… que d’une
chance supplémentaire, d’un délai qui
nous est accordé pour que nous soyons en mesure de proposer aux uns et aux
autres une véritable solution qui soit de nature à garantir un avenir viable
pour le Domaine.
Le Préfet a
d’ailleurs terminé la rencontre par la précision que ces éventuelles solutions devaient être maintenant
formalisées le plus rapidement possible! Et que cela impliquait donc que la
mise en place d’une réflexion et d’une étude approfondie des différentes solutions
envisagées se fassent dès la mise en place de la nouvelle équipe municipale. Et
que cela se concrétise par un
positionnement clair de la Mairie vis-à-vis de l’avenir du Domaine, et de
l’accompagnement soit du Projet de Reprise que nous portons, soit de toute
autre solution qui puisse être retenue comme viable.
Le Préfet a
également tenu à s’assurer que nous avions bien pris conscience que les moyens
d’accompagnement de la Mairie du Castellet, eu égard à sa taille et à son
budget annuel, étaient forcément limités (voir très limités !) et que les efforts à faire devaient avant tout venir des
occupants du Domaine eux-mêmes !
Il a
également tenu à s’assurer que nous avions bien pris en compte notre responsabilité collective vis-à-vis d’une dette
et d’obligations financières auxquelles il était hors de question d’imaginer
pouvoir se soustraire (et que cette acceptation de notre responsabilité collective était un
préalable à toute éventuelle proposition de solution pour l’avenir du Domaine).
Du positif
donc, mais sous réserve de bonnes intentions de la Mairie à l’égard du Domaine…
et surtout de la volonté sans faille des occupants de la Bergerie d’enfin
changer définitivement les choses et la façon dont la SCF aura été gérée
jusqu’à présent (et à sa mise en liquidation).
Ce qui n’est pas complètement acquis vu la lenteur
avec laquelle les porteurs de parts se positionnent, que ce soit vis-à-vis du
Projet de Reprise, ou de toute autre solution proposée pour le futur de la SCF.
JE RAPPELLE EN EFFET QUE PAR RAPPORT A L’OBJECTIF DES
2260 PARTS SOCIALES NECESSAIRES POUR DONNER UN CORPS AU PROJET DE REPRISE,
DEPUIS LE 19 DECEMBRE DERNIER… A PEINE UNE DIZAINE DE NOUVEAUX DOSSIERS
REPRESENTANT UNE CENTAINE DE PARTS SOCIALES NOUS SONT REVENUS… NOUS N’EN SOMMES
DONC TOUJOURS QU’A 208 PORTEURS DE PARTS SOUTENANT LE PROJET DE REPRISE, POUR
UN TOTAL DE 2170 PARTS SOCIALES.
Ce qui veut
dire tout simplement qu’en l’état (pour reprendre l’expression du Préfet) notre Projet de Reprise n’a toujours pas
de corps !
Concernant l’audience du 7 janvier au cours de laquelle devaient être défendues les
deux Tierce Oppositions (de Help Bergerie, et la nôtre) : Avec d’une part le décès du maire,
et donc l’absence de certitude concernant la position de la nouvelle équipe
municipale qui se mettra en place au sujet de l’avenir du Domaine (les éventuels « engagements »
de renouvellement du bail dont font état les uns ou les autres, pour se
rassurer, étant pour l’instant purement théoriques et surtout entièrement
soumis à la concrétisation d’une solution qui soit non seulement humaine, mais
aussi et surtout financière !), et d’autre part le refus par le Cabinet Huertas de fournir
les différents documents comptables et/ou financiers qui nous sont nécessaires
à l’établissement d’un business plan (formalité absolument nécessaire
pour la présentation d’une demande de financement et l’obtention de crédits
bancaires), il n’y avait pas d’autres possibilité que la demande de renvoi.
Demande de
renvoi (à laquelle d’ailleurs ne s’est pas opposé Maître Sarrazin et il faut
l’en remercier) acceptée par le Tribunal et audience renvoyée donc au 3 mars prochain.
Ce 7 janvier
aura par contre été « animé » par l’arrivée sur la table de plusieurs
nouveaux éléments :
- Confirmation du blocage du
Cabinet Huertas en ce qui concerne les différents documents absolument
nécessaires à la mise au propre d’une solution financière qui soit de
nature à appuyer, et surtout rendre réellement viable le Projet de Reprise. Et sans volet financier, le
Projet de Reprise perd une très grande part de sa crédibilité et des
garanties qu’il suppose en ce qui concerne les possibilités de
reconstituer la SCF sur des bases vraiment pérennes. Pour être tout à fait
complet à ce sujet, il faut préciser que ni le Tribunal, ni le Mandataire Liquidateur, ni Maître Sarrazin, ni
aucune des parties concernées n’ont pu obtenir quoi que ce soit du Cabinet Huertas.
- Au blocage des pièces par le
Cabinet Huertas se rajoute le même blocage au niveau de notre principal
créancier, Veolia, qui refuse de fournir aucun détail ou aucun
justificatif comptable précis des sommes qu’il nous réclame… ce qui pose
un réel problème puisque, par exemple, une procédure de recours (contestation
des sommes réclamées par Veolia à la SCF et à l’ASL qui avait d’ailleurs été
mise en train par le Cabinet Huertas au moment de son mandat
d’administration judiciaire du Domaine) arrive en audience le 11 janvier
prochain… audience pour laquelle Maître Lauer (notre avocate) a été
sollicitée pour une « intervention volontaire »… sauf que sans aucun élément concret sur
lesquels s’appuyer, elle n’aura pas la possibilité de contester
grand-chose !
- Contestation par le Cabinet
Huertas (via leur avocat) de la qualité de Porteurs de Parts des personnes
soutenant le Projet de Reprise d’une part au motif que beaucoup de cession de
parts n’ont pas été reconnues par la gérance de la SCF… et d’autre part au
motif que la plupart des Porteurs de Parts, y compris ceux reconnus par la
gérance, doivent de l’argent à la SCF, même des sommes minimes… et sont donc en faute au
regard de leur qualité d’associé (aucune possibilité de contester ce
dernier point devant le Tribunal puisque, comme répété et expliqué depuis
le début, des associés ayant
volontairement refusé de payer leurs charges d’occupation sont considérés
par le Droit comme des associés ayant organisé la faillite de leur propre
entreprise !).
- En ce
qui concerne la qualité de porteurs de parts, Maître Lauer va fournir à
l’avocat du Cabinet Huertas la copie des actes de cession qui nous ont été
confié par les porteurs qui se sont associés au Projet de Reprise… MAIS
SUR LES 200 ET QUELQUES DOSSIERS A COMMUNIQUER, UNE VINGTAINE SONT
TOUJOURS INCOMPLETS EN CE QUI CONCERNE LES PARTS SOCIALES… s’ils sont toujours incomplets
d’ici le 3 mars, il ne seront donc vraisemblablement pas pris en compte
par le Tribunal. Et s’ils ne sont pas reconnus par le Tribunal (et
donc contestés par le dernier administrateur légal du Domaine qui devrait
être celui remis en place par ce même Tribunal si la mise en liquidation
vient à être annulée), il faut
s’attendre à ce que nous ne puissions pas nous appuyer sur eux non plus au
niveau de l’éventuelle reprise en main de la SCF !
- En ce
qui concerne le montant des impayés, la contestation de Huertas tend sans
doute à remettre directement en cause la validité des « Engagements
sur l’Honneur » de se mettre en règle vis-à-vis de la SCF au moment
de son éventuelle reconstitution par des Porteurs de Parts qui ont refusé
volontairement d’assumer leur responsabilité d’associé au moment où ils
avaient l’obligation de le faire, c'est-à-dire au moment de
l’administration judiciaire, et même avant cela pour certains. Seule
possibilité de réponse, être en
mesure de prouver, d’ici l’audience du 3 mars, au moyen de quelque
justificatif que ce soit, que les sommes concernés existent et sont
réellement à disposition sur des comptes bloqués. Même motivation
sans doute que pour l’état de Porteur de Parts : contester le maximum
de personnes possibles dans l’intention de vider le Projet de Reprise de
sa substance (la possibilité de reconstituer un véritable socle
majoritaire de parts) et par la même toute chance de le mener à son terme,
puisque sans majorité absolue de
parts, aucune garantie de pouvoir réellement modifier les statuts en AG,
et effectuer de façon définitive les changements dans la gestion du
Domaine pour garantir un retour à une solvabilité pérenne de l’entreprise
(et sans ces différentes garanties, aucune chance d’obtenir quelque
financement que ce soit).
- Cerise
sur le gâteau ! en relation directe avec le point nr 5, Le Tribunal exige que les associés du Domaine
soient en mesure de réunir en garantie, pour l’audience du 3 mars, la
somme de 900 000 Euros ! Bref, le Tribunal entend nous faire payer
par avance notre volonté de vouloir faire annuler le jugement !
En fait, ce coût qui correspond en partie aux
impayés des Porteurs de Parts pendant la période de redressement judiciaire, et
en partie à la « continuation » de l’occupation du terrain pendant la
durée de la procédure devait être « couvert » (mais après la
reconstitution de la SCF) d’un côté par la reconstitution d’un actif locatif,
et garanti de l’autre par l’emprunt qui avait également pour vocation de
financer la normalisation du Domaine (de manière à ne pas peser
financièrement directement sur les épaules de porteurs de parts qui, de touts
façons, n’ont pas les moyens de l’assumer)… sauf que en l’absence des documents
nécessaires (toujours retenus par Huertas) aucune chance d’obtenir ce fameux
financement… et donc aucune probabilité d’être en mesure de pouvoir couvrir par
nous-mêmes le coût de cette continuation (vous vous rappelez ? Quand on
vous parlait de dans quelle proportion la dette initiale allait s’alourdir en
fonction de la durée de la procédure et si l’occupation du Domaine
continuait malgré les avis de justice ?)
Concrètement,
cela veut dire que, partant du principe que dans le cas de la Bergerie il s’agit d’une faillite organisée
(puisque en refusant de payer leurs charges d’occupation ce sont les associés
eux-mêmes qui ont organisé volontairement, et sciemment, la faillite de leur
propre entreprise), LE TRIBUNAL IMPOSE COMME PREALABLE A
L’EVENTUELLE ANNULATION DU JUGEMENT DE LIQUIDATION QUE L’ENSEMBLE DES SOMMES
DUES AU TITRE DES CHARGES D’OCCUPATION, ET QUI N’ONT PAS ETE REGLEES PAR
LES ASSOCIES RECALCITRANTS PENDANT LA PERIODE D’ADMINISTRATION JUDICIAIRE,
SOIENT REGULARISEES !
Bien
évidemment, réunir une telle somme en si peu de temps… et connaissant les
moyens financiers des porteurs de parts de la SCF… est une chose tout
simplement impossible. A moins que tous ceux qui les ont
soit disant bloqué sur des comptes Carpa ou autres se décident enfin à les
libérer !!!
En ce sens,
le Tribunal nous renvoie de fait, et
d’une manière bien subtile, à nous retourner nous-mêmes contre ceux là
mêmes qui ont amené le Domaine là où il en est ! C'est-à-dire à la
faillite !
Le Tribunal et le cabinet Huertas s’entendraient
ensemble pour faire en sorte que nous ne soyons pas en mesure, ni les uns ni
les autres, d’aller au bout de nos Tierce Opposition, et donc de contester le
jugement de mise en liquidation, qu’ils ne s’y prendraient pas autrement !
Bref, on ne
dit pas que c’est le cas… mais le résultat est le même !
CONCLUSION DONC DES DERNIERS
DEVELOPPEMENTS
Au rayon positif :
-
Une évolution peut-être enfin clairement favorable de
la position de la Municipalité en
ce qui concerne la possibilité, au minimum, de renouveler le bail de la SCF
pour une durée suffisante pour garantir la possibilité de rembourser les
créanciers et un éventuel emprunt.
-
Un délai supplémentaire minimum de deux à trois semaines pendant lesquelles
aucune coupure d’eau ou d’électricité n’est à craindre
-
Un soutien indirect de la Préfecture qui, en l’état, n’autorisera pas de recours à la
force publique en cas de demandes d’expulsions
Au rayon négatif :
-
Le blocage par le Cabinet Huertas et Veolia des différents documents nécessaires à la
concrétisation du volet financier du Projet de Reprise
-
La tentative de contestation par l’avocat du Cabinet
Huertas des bases humaines sur
lesquelles repose l’esprit même du Projet de Reprise
-
La mise en place par le Tribunal d’un obstacle
financier quasiment impossible à
franchir ou en tous cas, incroyablement difficile à contourner
La partie est donc
très loin d’être gagnée, et après trois mois et quelques toujours les mêmes
questions et problèmes sont posés ! Le
peu de mobilisation ou d’intérêt d’une grande partie des porteurs de parts
au regard des conséquences potentiellement dramatiques de la liquidation… et
surtout si l’on considère les échéances qui se rapprochent inéluctablement… comme si encore une fois les choses
allaient tout simplement rentrer dans l’ordre d’elles-mêmes !
Combien même l’horizon commencerait à éventuellement s’éclaircir du côté de la
Mairie, toujours autant d’incertitude
au niveau du volet financier sans lequel aucune continuation du Domaine
ne sera possible, la municipalité n’ayant absolument pas les moyens financiers
d’en assumer la charge (Budget annuel de la commune du Castellet :
4 000 000 d’Euros contre des travaux pour une normalisation du
Domaine au bas mot de 2 000 000 d’Euros et un coût annuel de fonctionnement de celui-ci autour
du 1 000 000 d’Euros) … l’incertitude
financière étant de fait elle-même très liée au peu d’enthousiasme de tous ces
porteurs de parts qui continuent de faire l’autruche quand il s’agit de
soutenir, ou ne serait-ce qu’évoquer les seules vraies solutions qui seraient
de nature à rassurer d’éventuels investisseurs !
Bref, si avec tout ça nous ne nous réveillons pas enfin
maintenant ! Demain, il sera trop tard pour pleurer.
Et encore une fois, personne ne pourra dire qu’il
n’était pas prévenu.
écrit
Bonsoir, un grand merci pour ces informations. Que le préfet vous ai accordé un rendez vous pour échanger sur le projet de reprise démontre qu'il y porte intérêt et semble donc positif pour notre avenir.
écrit
bonsoir laurent merci pour le compte rendu ainsi qu a maitre lauer qui fait plus que des heures supp...maitre huertas doit avoir quelques interets dans tout cela et veut décidemment notre disparition...est il au dessus de la justice qu il ne veut absolument rien donner?en tous les cas ceux qui ont bloqués leur argent.va etre temps de le sortir...c est maintenant ou jamais.que vous deviez 2000 ou 10000 ou 50000...parce que la vous nous entrainez dans le gouffre....REAGISSEZ!!!!n attendez pas que l on paie pour vous cela n arrivera pas!!!!!madame pradinas merci de montrer l exemple!!!!!
écrit
Bonjour Laurent
merci pour le compte rendu rapide, nous sommes nombreux à être suspendus aux nouvelles ...
En ce qui concerne le point qui paraît le plus épineux, LE VOLET FINANCIER , avons nous la somme plus ou moins précise qui devrait être payée pour la période d'administration Huertas, pour envisager un retour à un redressement et échapper à la liquidation
A ce jour,
* les porteurs de parts qui ont fait la promesse de cession représentent financièrement environ 300 000 euros (chiffre avancé lors d'une réunion)
* les comptes CARPA ????? xxxxxxx euros
* les comptes personnels bloqués dans l'attente ????? xxxxxx euros
* les vrais mauvais payeurs ????? 1 200 000 euros environ
si on arrive à faire une addition et se baser sur la somme obtenue
on pourra commencer à avancer sur ce point qui vérouille pour le moment toute tentative d'échapper à la liquidation
si tout le monde qui se répand en commentaires divers et variés sur facebook veut vraiment sauver le domaine, il faut arrêter de discutailler et mettre la main au portefeuille, c'est la seule preuve que vous pouvez donner maintenant
écrit
bonjour Laurent,
merci pour le compte rendu rapide,
pourriez vous détailler le point numéro 2 des points négatifs "tentative de contestation ....."
merci
écrit
OK nous allons faire promesse de donner nos 20 parts sociales bien que ça me gène ENORMEMENT , comme nous ne voyons pas d'autre solution nous allons contraints et forcés vous faire confiance et vous soutenir dans la mesure de nos moyens . Dans un précédent bulletin vous avez écrit que nos statuts actuels étaient très bien faits aujourd'hui vous dites vouloir les modifier quelle en seront les modifications principales
écrit
Merci pour votre compte rendu et tout ce que vous faites Laurent et votre equipe pour sauver le domaine. Maintenant nous sommes dans la dernière ligne droite avant la fermeture du domaine. Aux personnes qui bloquent les fonds de roulement vous qui nous avez traîné à la faillite. Ils ne vous restent qu'à vous joindre au projet le seul valable pour sauver votre toit. Payez ce que vous devez c'est la seule lueur d'espoir qui existe à ce jour. Bonne journée'
écrit
Réponse à Anonyme 4
-> La tentative de contestation par le cabinet Huertas est déjà très détaillé dans les chapitre numérotés 4, 5 et 6 des suites de l'audience (voir le billet publié)
Honnêtement, je ne vois pas quoi rajouter de plus.
Nous avons la plupart des dossiers physiques justifiant la détention des parts sociales par les porteurs soutenant le projet de reprise. Nous allons essayer de compléter ceux qui manquent. Et le tout sera communiqué à l'avocat du Cabinet Huertas.
Pour ce qui est de la contestation au niveau des sommes dues à la SCF et à l'engagement sur l'honneur, nous réfléchissons à une solution avec Maître Lauer... mais le plus simple serait que les porteurs de parts ayant un en-cours avec la SCF soient en mesure de justifier qu'ils ont bien l'argent en question à disposition, ou à peu près, et réellement mis à part d'un compte courant.
écrit
Réponse à Anonyme 5
Attention ! Je n'ai jamais dit que les statuts actuels étaient très bien faits ! Sinon il n'y aurait aucun problème.
Les statuts actuels sont effectivement déjà complets et adaptés en ce qui concerne les associés porteurs de parts... y compris concernant l'ensemble des dispositions qui aurait pu corriger le tir au niveau des impayés et des possibilités d'éviter la dérive financière... ces articles des statuts n'ont jamais été utilisé par les différents gestionnaires du Domaine et on se demande toujours pourquoi.
En revanche, il ne précise rien en ce qui concerne les occupants non associés ! Et pour cause, au moment de leur rédaction, ce cas de figure ne se posait pas... rendant du coup aujourd'hui tout une partie du Domaine occupé par des locataires complètement incontrôlable.
Le travail sur les statuts consistera tout simplement à doubler les articles concernant les associés de leur volet concernant de simples occupants.
écrit
réponse à Anonyme 5
Bonjour
je ne juge pas le fait que la promesse de parts représente une gêne pour vous,
mais depuis le début le collectif dit et redit que sans majorité nos chances sont quasi nulle devant le Tribunal....
voilà maintenant où nous en sommes, un dictat financier ou rien
vous dites que maintenant vous n'avez plus que cette solution !
nous avions une chance le 7 de passer,mais avec une majorité...
mais l'attitude de tous les porteurs de parts incapables de faire la part des choses et de comprendre que nous n'avions plus tellement d'autre choix pour sauver notre peau nous a conduit à cet état de fait (aucune garantie probante, aucune décision en notre faveur)
Maintenant, il faut payer et j'espère que vous vous montrerez tous à la hauteur de la tâche qui nous attend tous ...
écrit
Bonjour, c'est quoi ces travaux engagés par help, pose de vannes sectionnelles,du grand n'importe quoi puisque si il y a annulation de la liquidation,il faudra engager des travaux de réfection de toute l'installation,à ce moment la ce qu'ils font aujourd'hui partira avec la pelleteuse et l'argent dépensé avec. bravo help, splendide gestion du terrain, cela ne donne pas envie de voir ces personnes à la tête du domaine.
écrit
bonjour
je pense que les porteurs qui se sont engagés à céder leurs parts, seront à même de prouver leur engagement en faisant parvenir à Maître LAUER un chèque du montant des sommes dues ou tout autre solution proposée par Le Collectif et Maître LAUER
LE TEMPS PRESSE, j'espère que tous les adhérents au collectif en sont conscients
écrit
Bonjour anonyme 10. Avant le 03 mars prochain, il reste encore à patienter 8 semaines. Pensez vous qu'il soit utile de laisser les fuites d'eau en l'état et laisser ainsi grossir les factures a venir? Ce qui est fait aujourd'hui, ne sera pas à faire dans les semaines ou les mois qui suivent. Evitons les gaspillages inutiles.
écrit
Bonjour Laurent. Merci pour ce compte rendu rapide et précis.
Nous espérons que les porteurs ont bien compris la gravité de la situation et la grande nécessité à rejoindre le projet de reprise. Ensuite,dans quel but,Me HUERTAS bloque les documents ? comme vous dites, pour nous exterminer.... par voie de justice,ne peut on pas l'obliger à vous les donner ?? Enfin, il me semble que vous aviez la liste des porteurs ayant un encours avec la SCF. Je suppose qu'ils habitent tous à l'année sur le domaine, Comment leur faire comprendre qu'ils doivent régler même partiellement pour sauver le domaine qu'ils ont amené à la faillite !!!! Enfin, en ce qui me concerne, à l'annonce du redressement et de la liquidation, je n'ai pas payé le 3ème trimestre. Je suis prêt à régler, mais où et à qui ?? De plus, que faut il faire pour le 4ème trimestre de 2015 et le 1er timestre de 2016 ? L'urgence est que chacun régularise sa situation vis à vis de la SCF. Mais, je ne veux pas continuer à payer pour des personnes qui profitent du domaine et qui ne paient rien. Nous, nous n'habitons pas sur le domaine. Nous sommes à l'autre bout de la France. La pilule est dure à avaler. De plus, lorsque nous sommes entrés dans la SCF, il y a 30ans , il n'y avait pas de mauvais payeurs. Qui et Pourquoi avoir fait rentrer des personnes que l'on savait insolvables ? Nous ne devrions pas en être responsables.
écrit
Réponse à Anonyme 13
MAIS que vous le vouliez ou non si vous ne cédez pas vos parts, si vous êtes solvable vous aurez à payer non seulement votre part de la dette mais aussi celle des mauvais payeurs insolvables (10 % d'un montant à définir, mais conséquent apparemment)
en ce qui concerne le 3ème trimestre, si vous ne l'avez pas payé, il faudra dans le contexte actuel l'acquitter certainement avant le 3 mars auprès de l'avocat qui vous représente
pour le 4ème trimestre étant en liquidation Huertas n'est plus concerné mais seul le liquidateur si la liquidation est maintenue
je pense que nous sommes tous fautifs dans cette affaire, les porteurs qui ont payé régulièrement mais sans s'alarmer des impayés et ceux qui n'ont pas payé volontairement pour X raisons en disant on verra plus tard, tant que ça marche comme ça.....
écrit
Bonsoir,
Il est clair qu'apparemment Hertas et le tribunal veulent se débarrasser de nous et je ne comprends pas certaines choses, si quelqu'un peut éclairer ma lanterne :
- comment, dans notre situation, Huertas et Veolia peuvent-ils faire de la rétention de documents sans être inquiétés ou condamnés ?
- je ne comprends toujours pas comment il est possible que notre dette soit passée de environ 300 000 euros fin 2014 à 3 000 000 euros en aout 2015? Je n'ai jamais vu le détail ou la justification de cette augmentation.
- ce qui me gêne beaucoup dans cette histoire c'est que même si nous passons toutes les embûches que nous a citées Mr Lattanzi et que la liquidation est annulée, c'est encore Huertas qui va reprendre le dossier ou j'ai mal compris ?
- 900 000 euros divisés en 480, ça fait environ 2 000 euros par parcelle et ça reste dans le domaine du possible. Si nous arrivons à payer cette "caution" que se passe-t-il après ?
Cordialement.
écrit
bonsoir à tous
j'ai lu dans domaine bergerie de Fb que des gitans avaient l'intention d'investir le domaine la semaine prochaine pour soit disant nous aider.
je dis ATTENTION, si vous en laissez entrer un seul, nous sommes foutus, ils sont capables de n'importe quoi, je sais de quoi je parle, j'habite à 30 kms rappelez-vous leurs dernières actions à Moirans dans l'isère, ils ont mis la ville à feu et à sang pour faire sortir un jeune de prison il y a environ 3 mois. Walls c'est déplacé, il n'y a eu aucune poursuite sérieuse, pareil sur l'autoroute dans la somme, pour eux pas de poursuite, pour nous c'est la fermeture assurée, mon conseil, soyez vigilants, ne les laissez pas entrer, même pas sur le parking. Quand à la personne qui les fait venir, il vaudrait mieux qu'elle s'abstienne et quelle se taise surtout, car la délation c'est pas beau.
écrit
Bonsoir lobdr,votre mode de calcul n'est t'il pas un peu facile:
900.000/480=2000, très bien mais il me semble plus logique que les personnes ayant des comptes bloqués paient ce qu'elles doivent et ensuite nous reverrons un mode de calcul.
écrit
Bonsoir anonyme 14, vous avez tout résumé en 3 lignes et vous avez tout compris. Bon ou mauvais payeurs, nous sommes tous dans le même panier. Une seule solution pour nous aujourd'hui si nous voulons nous en sortir, payer!
écrit
Bonsoir pour ma part je l'ai écris sur domaine bergerie je le mets ici nous sommes prêt à payer à la seul condition que toutes les personnes qui on une dette depuis huertas s'en acquittent après le calcul sera pour ceux à jour au 1 er janvier.je pense que beaucoup sont prêt à faire comme moi.
écrit
Bonsoir à toutes et à tous
effectivement anonyme 17, je trouve le moyen de calcul d'anonyme16
un peu trop facile moi aussi. Encore faudrait-il qu'il y est 480 porteurs qui paient 2000€ ce dont je doute fortement.
pour ma part, je serai prête à payer le 4ème Trimestre 2015 plus le 1er trimestre 2016 voire même 2016 complet, si l'on me donne la garantie que ça ne tombera jamais entre les mains d'Huertas, que cet argent me sera rendu si le projet ne passe pas, car cet argent j'en aurai besoin pour payer la dette des autres directement au liquidateur quand il viendra me réclamer l'argent que je ne dois pas.
écrit
Tout a fait d'accord avec vous Mireille
écrit
comme l'a si bien dit joss si vous voulez sauver le domaine et bien payez maintenant....tous ceux qui ont baissé les bras qui doivent un peu beaucoup....il est encore temps 2 mois....c est court tres court mais suffisant pour débloquer vos petits matelas je reitère...madame pradinas montrez l exemple !!!!ne pensez pas que nous allons verser 2000euros tandis que vous avez mis de coté.il serait trop facile que vous vous en tiriez a si bon compte...vous voulez sauver le domaine alors prouvez le cette fois.... plus de fausses paroles des actes svp
écrit
je suis d'accord avec Anonyme 22 mais je pense qu'il faudrait garantir les sommes versées sur un compte géré par l'avocat du collectif cela prouverait que les règlements seront prêts à être débloqués en cas d'abandon de la mise en liquidation et adoption du projet de reprise
écrit
bonsoir a tous
il est sur que sur ce groupe les gens parle de payer j aimera bien en lire autant sur les autres groupes....bien sur huertas veut notre peau mas l heure n'ai pas a se poser la question parce que le temps qu on attaque le domaine aura deja fermé avant d avoir le moindre retour...des années de procédures contre urbania maintenant vous voulez huertas mais en attendant quand parlera t on de faire vivre le domaine?combien d annes de procédures encore?cela ne vous suffi pas?si l on doit lancé des procédures alors moi je veux bien en lancé contre ceux qui nous ont mi dans cette galère et je panse que ca sera plus utile et que nous aurons plus de chance que contre huertas
écrit
bonsoir moi aussi ok avec le 22 et du meme avis que les autres qui sont prets à payer ce qu ils doivent.je dois pas beaucoup mais je veux bien me mettre a jour.laurent comment on doit faire?un chèque a lauer?merci de nous répondre
écrit
bien sur qu'il faut que les retardataire payent ce qu'ils doivent c'est une priorité, sauver le domaine et ensuite on aura tout notre temps pour se rallier et s'occuper de tous ceux qui nous ont fait du tort de quelques manières que ce soit, mais :
LE DOMAINE D'ABORD
écrit
bonsoir je vois que salvio continue de jeter son venin....en parlant de mauvais payeurs combien en a t'elle crée elle meme en disant aux gens de ne pas payer?oui l histoire se répete avec des gens comme vous.allez donc continuez votre combat avec vos fantomes du passé qui doivent vous empecher de dormir
et apellez plutot a l apaisement cela serait beaucoup plus intelligent si il vous reste un peu d 'intelligence?
écrit
Réponse globale à tous les "Anonymes" concernant les 900 000 Euros réclamés par le Tribunal
Comme expliqué dans le billet, s'agissant d'une faillite organisée, le Tribunal pose comme préalable à un éventuelle annulation de la liquidation que les associés, par définition "coupables", payent ce qu'ils doivent... c'est à dire acceptent de se mettre à jour, d'une part des sommes qu'ils ont refusé de payer à la SCF au titre des charges d'occupation, et d'autre part des sommes courant depuis le dépôt des procédures de recours (c'est à dire depuis le 1er octobre)
Le Tribunal estime que entre le 1er oct 2015 et le 3 mars 2016, le coût de la liquidation du à l'occupation du terrain (consommation en eau et en électricité) se sera alourdi grosso modo de 300 000 Euros (à peu près 60 000 Euros/mois).
Ces 300 000 Euros viennent se rajouter à au total environ 600 000 Euros d'impayés (refus de nombre X de porteurs de parts de régler leurs charges d'occupation) sur la période du redressement judiciaire.
Les deux sommes s'additionnent, certes, mais se répartissent de façon différente.
Logiquement, les 300 000 Euros correspondant à la période oct 2015/mars 2016 seraient à répartir de manière égale entre tous les porteurs de parts (300 000 / 500)
Les 600 000 seraient logiquement à répartir au prorata de ce que doivent réellement chacun des porteurs de parts.
Je veux dire, ce serait le seul mode de calcul réellement équitable... sauf que ceux qui n'ont jamais rien payé jusque là le refuseront certainement.
Reste la possibilité de tout lisser par le nombre de porteurs... sauf que, toujours pareil, il ne sera jamais possible de faire payer tout le monde.
La somme est donc impossible à réunir.
Et il faut trouver une solution de contournement.
Et pour l'instant, cette solution n'existe pas.
Pour Maître LAUER, inutile de verser quoi que ce soit pour l'instant sur un compte Carpa (il faut une bonne fois pour toute arrêter ce délire de vouloir ouvrir des comptes Carpa pour tout et n'importe quoi), un chèque du montant voulu à l'ordre de Maître Malric, et qui serait gardé en attendant chez Maître Lauer serait suffisant.
Si la somme est atteinte, les chèques sont donnés à Malric et la liquidation annulée.
Si la somme n'est pas atteinte, les chèques sont rendus à leurs émetteurs et la liquidation confirmée.
Plus simple que ça, ce n'est pas possible.
Et ça ne sert à rien d'extrapoler sur à qui remettre les chèques et quand.
écrit
Réponse Globale à tous les "Anonymes" au sujet de si nous arrivons à réunir les 900 000 Euros !
Que l'on soit aussi bien clair.
Ces 900 000 Euros nous sont réclamés au titre d'une part de ce que certains ont refusé de payer (leurs charges pendant la période de RJ), et d'autre part au titre de la période entre le 1er oct 2015 et le 3 mars 2016 où les dettes continuent de courir.
Il nous est réclamé 3 000 000 d'euros par les créanciers, somme sur laquelle nous n'avons pour l'instant aucun détail... et qu'il est impossible de contester (la mise en liquidation ayant tiré un trait sur les procédures de contestation en cours).
Ces 900 000 Euros récupérés par le Tribunal, à mon avis, serviront d'abord à ce que le Mandataire se rémunère, aux frais de justice etc... et seule une partie de la somme ira au remboursement effectif des créances.
Cela veut dire que même avec ces 900 000 Euros sortis de nos poches, une fois la liquidation annulée, il restera des sommes incalculables à rembourser.
Nous avions la possibilité d'échapper à tout cela si autant de temps et d'énergie n'avaient pas été perdus par les uns et les autres à essayer de contrer le projet de reprise ! Parce que un des buts du Projet de Reprise était justement d'arriver au Tribunal le 7 janvier avec de quoi régler le problème de la dette (c'était le plan d'apurement).
écrit
Réponse globale concernant les procédures qui pourraient être envisagées contre Huertas ou Veolia pour les contraindre à nous fournir les documents nécessaires.
Oui, bien sûr, il y a la possibilité d'entamer des procédures contraignante pour obliger les uns ou les autres... sauf que le temps joue contre nous... et que ce fameux temps juridique que les dîtes procédures arrivent à leurs termes, et que l'on puisse obliger tous ces braves gens à fournir les documents dont le cabinet d'expertise comptable a besoin... et bien le temps que tout cela aboutisse, la liquidation de la SCF aura été confirmée par le Tribunal depuis bien longtemps.
Je vous rappelle que notre prochaine audience (nous sommes en recours, et non pas en procédure d'appel... les recours se jugeant sur la forme... et un appel se jugeant sur le fond, c'est à dire sur les bases d'une ré étude complète du dossier) se tiendra le 3 mars... c'est à dire d'ici à peine un mois et demi.
C'est beaucoup trop court pour espérer obtenir quoi que ce soit... surtout si de leur côté, Huertas ou Veolia font barrage et joue la distance et le temps via leurs avocats respectifs.
Encore une fois, avec un véritable gérant, nous n'en serions pas là... et nous aurions de vrais moyens de nous défendre et de faire valoir nos droits.
Mais ce n'est pas le cas.
Et nous n'avons quasiment aucun vrai moyen ni de nous défendre, ni de faire valoir nos droits.
Pour faire même encore plus simple, des droits, malheureusement, en termes de Droit, nous n'en avons quasiment aucun.
Ou alors juste celui de payer, si nous en avons les moyens.
écrit
Réponse à Anonyme 16
D'une manière générale... le fait de voir s'immiscer dans le déjà très délicat dossier de la Bergerie, n'importe quelle personne qui en est extérieure (qu'il s'agisse d'ailleurs de n'importe qui) ne peut qu'être préjudiciable à l'intérêt de tous.
Enfin bref, je ne sais pas si ces rumeurs sont fondées ou non... mais si c'est le cas, il ne va s'agir pour nous que d'une nouvelle source de problèmes.
Comme si certaines personnes sur le Domaine faisaient tout, mais absolument tout ce qui est en leur pouvoir pour nuire... et faire en sorte que la Bergerie soit rayée de la carte du Var.
C'est sûr que si tout cela est vrai, du fond de sa tombe, il doit bien applaudir et se bidonner, l'ancien maire !
écrit
Tout à fait d'accord anonyme 22.Marre des procès qui nous servent à rien depuis des années. Avec Laurent nous avons un bon projet. Que ceux qui bloquent leur argent payent et que les autres aussi. Nous ne sommes pas la pour payer pour les autres et faire des procès à Pierre. Jacques Paul. Pour l'instant nous sommes là pour sauver et faire vivre le domaine. Bonne journée à tous.
écrit
bonjour
il nous faut considérer qu'il y a une chronologie dans le déroulement du sauvetage du domaine
oui Candide LE DOMAINE D'ABORD même si maintenant il faut en passer par un compte ou toutes les sommes dues , dans le cadre des promesses de cession de parts, seront versées... environ 300 000 euros (info réunion)
pour les autres porteurs de parts, c'est l'inconnu à part le fond de roulement de help bergerie
Laurent et le collectif ont préféré dans un premier temps fédérer les porteurs de parts pour l'obtention d'une majorité, plutôt que de leur demander encore de l'argent, (argent qui entre nous n'aurait pas servi à grand chose dans le contexte de la liquidation) pensant que l'émergence d'un projet viable, ENFIN, nous permettrait de changer la donne auprès d'un Tribunal...
MAIS, il faut se rendre à l'évidence, il manque à ce jour, toujours quelques parts .... pour une majorité convaincante, pour les raisons que tous connaissent !
aujourd'hui NOTRE BONNE FOI NE SUFFIT PLUS et cela explique l'éventuelle décision d'un compte bloqué qui de facto nous est IMPOSEE par le Tribunal qui exige la somme de 900 000 euros pour preuve de notre capacité à remettre sur pied et à gérer le domaine
désolée de voir encore Mme SALVIO monter au créneau, elle a le droit d'avoir sa stratégie quant au sauvetage du domaine, mais qu'elle arrête de tirer à vue sur tout ce que le collectif pense être juste et sensé, c'est pathétique et malsain !
écrit
en bref, nous devons nous préparer à la liquidation et aller voir nos banquiers et notaires pour emprunter et éviter la saisie ....
merci Help, merci les indécis, maintenant vous pouvez dire tout ce que vous voulez....et continuer à vous poser toutes les questions de la terre, de déblatérer sur Laurent et le collectif !
écrit
Bonjour je suis d'accord pour verser de l'argent dois je l'envoyer directement à maître Lauer ou faut il passer par le collectif,j'ai bien compris que si la somme est atteinte je dont je doute un peu mais bon.. Sinon cela me sera restitué, combien faut il donner? Que ce passera t- il pour les personnes qui ne donnent rien si la liquidation est annulé. ?
écrit
bonjour,
du coté du collectif du projet de reprise, il sera aisé de connaître le montant qui sera versé, une consultation de tous les adhérents au projet fourniront rapidement les sommes dues par chacun et la mise à disposition de cette somme
espérons que les autres porteurs passeront enfin à l'action c'est à dire au paiement des sommes qu'ils doivent AU TITRE DE LA PERIODE DE L'ADMINISTRATION HUERTAS
Et qu'on ne vienne pas encore nous servir des soldes débiteurs gonflés par les magouilles des différentes gérances et qui sont antérieurs à la période réclamée mais qui servent d'alibi pour ne rien payer du tout
cela paraît tellement évident de payer pour ce que l'on à consommé ou occupé MAIS PAS A LA BERGERIE !
ET LA
c'est enfin ultime moyen de voir qui est mauvais payeur occasionnel (chacun peut avoir une problème à un moment de sa vie) et qui est un mauvais payeur professionnel c'est à dire un profiteur
pour le reste il faudra voir en temps et heure pour le moment c'est le sauvetage du domaine qui prime
écrit
bonjour,
les différents groupes et leurs avocats décident quoi pour le paiement des 900 000 euros
j'ai compris que le groupe du collectif de reprise ne doit pas poser de problème étant donné qu'il s'est engagé par une promesse de cession
mais Help Bergerie et le reste des porteurs qui n'appartiennent à aucun groupe que font-ils ?
écrit
Bonjour
je fais partie des porteurs qui ont fait la promesse de cession et dès Lundi, je photocopie le dernier appel de fonds sur lequel figure mon solde (3ème et 4ème TR 2015) auquel je rajoute les mois de janvier et février 2016, j'adresse à Maître LAUER un chèque de la somme obtenue à l'ordre de Maître MALRIC dès la semaine prochaine
IL FAUT BIEN COMMENCER, de toute façon il faudra payer, alors je préfère payer pour éviter une liquidation qui me coûtera au bas mot 10 fois plus, je sais que beaucoup ne se sente pas concerné par l'info ou n'y croit pas et pourtant c'est notre réalité aujourd'hui
2000 euros maintenant ou 20 000 euros minimum trop tard !
choisis ton camp camarade comme disait Coluche ....
écrit
Bonjour anonyme 37
je réponds à votre question par une question
que va faire votre voisine demain ? je pense que vous n'en savez rien. Comment voulez-vous que Laurent réponde à votre question??
la question n'est pas de savoir ce que font les autres
la question est de faire ce que soit même on doit faire pour sauver le domaine et en plus si c'est pas trop demander d'y croire et de ne pas démoraliser les troupes
merci d'avance pour votre compréhension
écrit
bonjour.sarazzin 'n pas parlé des 900000 il attend la liquidation pour que le groupe a pradinas soi blanchi des dettes?pour ca qu il veule juste le fond de roulement.il en on rien a foutre du tribunal
écrit
Bonjour,
C'est dimanche, jour de repos... Non pas tout à fait!
Les compteurs tournent, je veux parler des 900000 euros de notre dette à tous! (Plus que 50 jours avant le 3 mars 2016)
Plus aucun prétexte pour ne plus payer et annuler le préalable à la liquidation.
Oui, j'ai bien dit payer sans aucune exception:
-membres de Help Bergerie,
-membres du projet de reprise et relance du Domaine
-Ceux qui ne se sont pas encore impliqués ou montrés jusqu'à présent par peur pour eux, mais de quoi, de qui...! Bougez-vous!
-Ceux qui se cachent derrière le fait d'avoir refusé de payer depuis longtemps et qui persistent à ne pas vouloir payer en pensant rester anonyme, bien planquer. Mais non, les huissiers viendront ici où là où vous vivez maintenant.
SANS ATTENDRE, il faut que chaque porteur de part face preuve de responsabilité.
S'IL VOUS PLAIT, ne versez plus les 250 euros à Help pour prétexter faire avancer les choses aujourd'hui.
Les vannes d'eau, OK s'est fait, avec leur "fond de roulement" de 61.000 euros que certains ont versés.
Ce n'est pas une avance sur charges, c'est faux! et surtout de prétendre après que ceux qui ne payent pas sont des mauvais payeurs, alors que la plupart d'entre eux, ont soit-disant mis de l'argent sur des comptes Carpa...! Un peu de courage ouvrez vos comptes Carpa... !
L'OBJECTIF DE CHACUN, DES MAINTENANT, c'est verser ce que nous devons à l'ordre Mr MALRIC liquidateur, mais en remettant votre chèque à l'avocate Mtre Lauer Mélanie.
Eventuellement à Mtre Sarrazin, si celui-ci s'engage au nom de Help à valider clairement et officiellement la seule action qui nous donne une chance de salut.
Cela lui permettra de se positionner officiellement afin que la tierce opposition de Help montre sa véritable motivation.
Cela évitera que l'on entende dire de Help « ils (HELP)attendent en fait la liquidation pour effacer leurs dettes et pour re-créer une structure de type « accueil social » dont on a la preuve vivante, aujourd'hui sur le domaine, du désastre à la fois humain, en terme de relation entre les gens, et financier...STOP.
ALORS il faut que CHACUN PAYE CE QU'IL DOIT AU LIQUIDATEUR, POUR MONTRER QUE POUVONS AVOIR DE LA CREDIBILITE et DU CREDIT... ! Aux yeux des institutionnels.
Unissons-nous vraiment.Nous n'aurons plus d'autre opportunité.
Bernard
écrit
BERNARD PRESIDENT ! BERNARD PRESIDENT ! BERNARD PRESIDENT !
Je te jure, si tu te présentes, je vote pour toi en 2017
;-)))
écrit
Mais non Laurent, tu n'as rien compris, c'est pas la Présidence que je vise, c'est le poste de Maire du Castellet!
Peut-être que cela nous aiderait un peu au domaine par les temps qui courent!
écrit
bonsoir...du TRES GRAND grand bernard.
clair net précis....et productif....parfait!!!
je ne te voyais pas sous cet angle...mais j avais les lunettes sur la tete et pas sur les yeux.....bonne soirée